« La désillusion s’est installée » – De plus en plus de prestataires déclassent leurs éco-fonds


Coucher de soleil sur un parc éolien

Selon une norme réglementaire récemment publiée, seuls les fonds qui investissent à 100 % dans des projets durables peuvent se qualifier de durables.

(Photo: dpa)

Francfort De nombreux investissements verts ne répondent apparemment plus aux exigences plus strictes de l’UE et des superviseurs. De nombreux bailleurs de fonds relativisent actuellement les promesses de durabilité de leurs produits. Tant le leader du marché Blackrock que de nombreux autres prestataires de services financiers classent dans le domaine standard des produits qui se caractérisaient auparavant par un niveau de sophistication particulièrement élevé. Ils sont donc considérés comme moins durables.

« Cette évolution devient plus dynamique, le nombre de reclassements augmente », explique Ronald Kölsch, qui traite du sujet au Forum des investissements durables. Il s’agit d’une question sensible pour l’industrie financière : les investissements verts sont considérés comme probablement la plus grande opportunité de croissance pour l’industrie des fonds.

Mais la définition de ce que l’on entend exactement par durable est jusqu’à présent restée vague. La classification des fonds est régie par le règlement de l’UE sur la divulgation, qui est en vigueur depuis mars de l’année dernière. En conséquence, les fournisseurs doivent catégoriser eux-mêmes leurs produits : ceux qui ont un impact particulier sur le développement durable relèvent de l’article neuf du règlement, les moins ambitieux du chapitre huit.

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