La princesse Béatrice devient une figure essentielle de la famille royale, malgré les complications liées à son père, le prince Andrew, et son passé controversé. Elle cherche à s’éloigner de lui pour garantir son avenir royal, surtout avec un nouvel enfant en route. Alors que le roi Charles et Kate Middleton réduisent leurs engagements, Béatrice et Eugenie tentent de se forger une nouvelle image. Leur implication dans la monarchie reste incertaine, tout en profitant d’un statut sans les obligations royales habituelles.
La princesse Béatrice : un atout précieux pour la famille royale
La princesse Béatrice a émergé comme une figure clé au sein de la famille royale ces derniers mois. Cependant, le prince Andrew pourrait représenter un obstacle à son intégration dans un rôle à temps plein au sein de l’institution. Une source a révélé que Béatrice envisage de ‘prendre ses distances avec le prince Andrew’ à cause de son ‘scandale embarrassant’ lié à Jeffrey Epstein. Bien qu’Andrew ait renoncé à ses fonctions en 2020 suite à des accusations d’agression, Béatrice et la princesse Eugenie continuent de s’engager dans des activités publiques, malgré la chute en disgrâce du duc d’York.
Selon la source, ‘Béatrice réalise que son avenir dépend davantage de son oncle que de son père’. Avec l’arrivée d’un nouvel enfant en route, elle se concentre sur son avenir et sur la manière d’avancer. Bien que Béatrice ait trouvé sa place en épousant un membre d’une famille aristocratique italienne, la présence d’Andrew, qui nuit à la réputation et aux finances de la famille, est une source de préoccupation.
Les défis de la famille royale face aux scandales
Cette année, le roi Charles et Kate Middleton ont réduit leur charge de travail en raison de leurs propres luttes contre le cancer, ce qui a permis aux princesses de York et à Zara Tindall de soutenir leur famille en ces temps difficiles. ‘Béatrice aspire désespérément à être officiellement reconnue au sein de la liste royale, et si cela implique de s’éloigner de son père, alors elle n’hésitera pas’, a ajouté la source.
Des experts royaux, comme Cameron Walker, ont exprimé leurs doutes quant à l’engagement des Yorks envers la monarchie. ‘Je ne vois pas comment la princesse Béatrice, Eugenie, Zara et d’autres pourraient devenir des membres actifs de la famille royale’, a-t-il déclaré à GB News. ‘Ils mènent leur propre vie, ont leurs propres carrières et enfants, et ne souhaitent pas être soumis aux contrôles qui les accompagneraient s’ils s’engageaient pleinement.’
- La famille royale se débat avec l’intégration des princesses Béatrice et Eugenie en raison des controverses entourant le prince Andrew.
- Le roi Charles adopte une attitude ‘dure’ envers les princesses Béatrice et Eugenie pendant son combat contre le cancer.
- Les princesses Béatrice et Eugenie peinent à se détacher de l’image ternie par le prince Andrew.
Actuellement, Béatrice et Eugenie occupent des emplois traditionnels et pourraient être amenées à renoncer à leur style de vie pour servir le roi Charles. ‘Elles ne peuvent pas naviguer entre deux mondes, comme Harry et Meghan l’ont appris à leurs dépens lors du sommet de Sandringham avec la défunte reine‘, a noté Walker. ‘Être à moitié impliqué n’est pas une option.’
Les Yorks et les Tindalls bénéficient de leur statut sans les mêmes obligations que d’autres membres de la famille royale, ce qui leur permet de profiter d’événements sociaux sans les contraintes habituelles. ‘Ces jeunes générations, comme Zara, Mike, Béatrice et Eugenie, récoltent les avantages sans les responsabilités associées’, a-t-il affirmé. ‘Ils peuvent assister à des événements comme Ascot ou des garden-parties, mais sans la pression des engagements plus sérieux.’
Lors de la récente visite de l’empereur Naruhito du Japon à Londres, les talents diplomatiques de Béatrice ont été mis en avant alors qu’elle assistait Charles. ‘C’est tout à fait logique. Je n’ai jamais vu la princesse Béatrice faire une erreur’, a commenté Lee Cohen à GB News. ‘Elle a su mener sa propre vie et sa carrière tout en étant une jeune mère, bien que ces transitions puissent être difficiles.’