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La fuite de données géante de documents confidentiels a révélé l’identité d’agents secrets travaillant pour démanteler les cartels de la drogue opérant en Australie, rapporte Nine Newspapers.
« L’AFP est préoccupée par d’éventuelles atteintes à la sécurité opérationnelle à la suite de cette compromission des données », a déclaré aujourd’hui un porte-parole.
« L’AFP travaille avec nos partenaires dans les régions touchées pour atténuer toute menace potentielle pour la sécurité des personnes ou les enquêtes en cours. »
La violation de données en août a révélé des agents d’infiltration et des opérations d’agences internationales chargées de l’application de la loi, y compris l’AFP.
Le porte-parole a déclaré que les experts en cybersécurité de l’AFP travaillaient avec le gouvernement colombien pour protéger leurs systèmes informatiques.
Parmi les 35 missions de l’AFP et leurs cibles révélées figure un baron de la drogue qui vit dans le luxe en Colombie après avoir fui Perth.
Dans un autre, un certain nombre d’agents de migration ciblaient des étudiants colombiens pour fournir de la cocaïne importée et de l’argent à des gangs de motards à Brisbane.
Les dossiers décrivent un flux régulier de cocaïne et d’autres drogues provenant de cartels colombiens en Europe, en Asie et dans le Pacifique ciblant les ports et aéroports australiens.
Le porte-parole de l’AFP a déclaré que la collaboration avec les autorités colombiennes avait joué un rôle essentiel pour endiguer l’importation de drogue en Australie.
« Les opérations menées avec la participation des forces de l’ordre colombiennes ont abouti à la détection d’une grande quantité d’importations de drogue à destination de l’Australie et ont perturbé les cartels de la drogue par le biais d’arrestations et de poursuites engagées par les autorités colombiennes.
« Ces succès ne sont pas possibles sans l’étroite collaboration des partenaires colombiens de l’AFP. »
Un groupe appelé Guacamaya, qui se dit inspiré par les questions environnementales et anti-impérialistes, a affirmé avoir réalisé le cyberhack.
Il a déclaré qu’il ciblait les données détenues par les gouvernements et les entreprises d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud.
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