[ad_1]
Un tribunal de Londres a jugé que Lalit Modi, le fondateur de l’Indian Premier League (IPL), n’avait pas induit en erreur le capital-risqueur Gurpreet Gill Maag et son mari Daniel à investir 1 million de dollars dans sa clinique de traitement du cancer.
Une décision du banc de trois juges, rendue mardi, a déclaré que « ni M. ni Mme Maag ne me semblaient du tout crédules et malgré les réalisations et les relations passées de M. Lalit Modi, je m’attendrais à ce qu’ils aient pris certaines des [Mr Modi’s] des vantardises et des « bouffées » possibles (comme je l’ai fait) avec au moins une pincée de sel.
Les Maags avaient accusé Lalit Modi de les « avoir trompés » lorsqu’ils se sont rencontrés à Dubaï en 2018 pour discuter d’un investissement dans Ion Care, une clinique anticancéreuse. Les Maags ont allégué que Lalit Modi était économe avec la vérité sur des personnes riches et bien connues acceptant d’être des ambassadeurs de l’entreprise.
Ancienne mannequin sikhe, Maag avait notamment allégué avoir été dupée par Lalit Modi, en lui faisant croire que des membres de la famille royale et des dirigeants mondiaux tels que le prince Andrew, l’ancien secrétaire général de l’ONU Kofi Annan, le cheikh Nahyan bin Mubarak Al Nahyan, le ministre de la Culture et du Savoir Développement aux Émirats arabes unis et le Dr Thaksin Shinawatra, ancien Premier ministre thaïlandais, avaient tous investi sa société de traitement du cancer Ion Care. Le tribunal a plutôt conclu qu’il lui avait simplement présenté une «vision» de l’entreprise.
La Cour d’appel, avec un panel de juges Guy Newey, Rabinder Singh et Christopher Nugee, a rejeté une demande de Maag d’annuler une décision antérieure de la Haute Cour selon laquelle Lalit Modi lui avait fait des déclarations incorrectes sur le centre qu’il avait l’intention de fonder. Au lieu de cela, le panel a confirmé la conclusion selon laquelle l’argumentaire d’investissement de Lalit Modi auprès des Maags était « ambitieux » plutôt que destiné à montrer l’état actuel de l’entreprise.
Une décision du banc de trois juges, rendue mardi, a déclaré que « ni M. ni Mme Maag ne me semblaient du tout crédules et malgré les réalisations et les relations passées de M. Lalit Modi, je m’attendrais à ce qu’ils aient pris certaines des [Mr Modi’s] des vantardises et des « bouffées » possibles (comme je l’ai fait) avec au moins une pincée de sel.
Les Maags avaient accusé Lalit Modi de les « avoir trompés » lorsqu’ils se sont rencontrés à Dubaï en 2018 pour discuter d’un investissement dans Ion Care, une clinique anticancéreuse. Les Maags ont allégué que Lalit Modi était économe avec la vérité sur des personnes riches et bien connues acceptant d’être des ambassadeurs de l’entreprise.
Ancienne mannequin sikhe, Maag avait notamment allégué avoir été dupée par Lalit Modi, en lui faisant croire que des membres de la famille royale et des dirigeants mondiaux tels que le prince Andrew, l’ancien secrétaire général de l’ONU Kofi Annan, le cheikh Nahyan bin Mubarak Al Nahyan, le ministre de la Culture et du Savoir Développement aux Émirats arabes unis et le Dr Thaksin Shinawatra, ancien Premier ministre thaïlandais, avaient tous investi sa société de traitement du cancer Ion Care. Le tribunal a plutôt conclu qu’il lui avait simplement présenté une «vision» de l’entreprise.
La Cour d’appel, avec un panel de juges Guy Newey, Rabinder Singh et Christopher Nugee, a rejeté une demande de Maag d’annuler une décision antérieure de la Haute Cour selon laquelle Lalit Modi lui avait fait des déclarations incorrectes sur le centre qu’il avait l’intention de fonder. Au lieu de cela, le panel a confirmé la conclusion selon laquelle l’argumentaire d’investissement de Lalit Modi auprès des Maags était « ambitieux » plutôt que destiné à montrer l’état actuel de l’entreprise.
[ad_2]
Source link -37