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Que ce passe-t-il? Les banques sont critiquées pour la faiblesse des contrôles de sécurité qui rendent les consommateurs plus vulnérables aux usurpations, aux escroqueries et aux pirates.
La État d’Internet Un rapport du fournisseur de services cloud et de sécurité Akamai Technologies a averti les institutions financières (IF) que, alors que l’open banking commence à proliférer aux États-Unis, elles doivent prendre plus au sérieux la sécurité de l’interface de programmation d’application (API).
Ailleurs, les banques britanniques ne tirent pas pleinement parti des ressources qui peuvent empêcher leurs clients de être victime d’une fraude au paiement push autorisé (APP)par FinExtra.
Fraude aux États-Unis : Selon le rapport d’Akamai, alors que les banques américaines travaillent de plus en plus avec des fournisseurs de technologies financières tiers via des connexions API, leur sécurité API s’affaiblit ou ne suit pas les tactiques des escrocs.
- Au cours de l’année écoulée, les attaques contre les API liées aux services financiers et les applications Web étroitement liées ont augmenté de 257 %.
- En Amérique du Nord, la croissance des attaques a été encore plus élevée, à 449 %.
- Les méthodes par lesquelles les pirates utilisent les API pour accéder aux données financières personnelles deviennent également de plus en plus complexes. Si une API est mal configurée, les acteurs malveillants n’ont même pas besoin d’un mot de passe ou d’informations de connexion pour accéder aux données des consommateurs. Les pirates peuvent également accéder directement aux fichiers sur un serveur bancaire via un fournisseur mal sécurisé qui travaille avec la banque.
Les API alimentent l’open banking : En partenariat avec les fintechs, les banques s’appuient fortement sur les API pour créer des connexions rapides et faciles avec des fournisseurs tiers. La pratique est courante au Royaume-Uni, où l’open banking fait partie d’un mandat national. Les banques américaines ne sont pas encore tenues de mettre en place des solutions bancaires ouvertes, bien que les exigences arrivent probablement.
Mais de nombreuses banques américaines ont déjà ressenti la pression des consommateurs pour s’engager dans ces partenariats.
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