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Oui, bien sûr, il y a aussi des montagnes escarpées et des sons gutturaux de ce côté-ci de la frontière. Mais non, ce n’est certainement pas seulement le tourisme des chars qui a motivé le voyage au Tyrol récemment. De temps en temps, le nez veut être emporté par le parfum de l’exotisme – même s’il s’agit de fumées vertigineuses comme à la station-service de Hall qui se trouvait sur le chemin. Le litre de Super était là pour 1.729 euros, vous pouvez donc le lire quelques jours plus tard avec incrédulité sur le ticket de caisse. Pas d’affaire et pourtant ça sentait bon.
Pendant longtemps, il n’était plus bon marché de couler un coffre dans une station-service en Bavière. Au contraire : c’était particulièrement cher en Bavière récemment, même selon les normes allemandes. Que ce soit à Hambourg ou à Berlin, le ravitaillement en carburant est partout moins cher que dans l’État libre. Un litre de diesel coûte parfois 13, 14, 15 centimes de plus ici. Qui devait chercher des preuves de la thèse avancée par le gouvernement du Land selon laquelle la Bavière était systématiquement désavantagée par le gouvernement fédéral, alors que cela était clairement indiqué sur les tableaux de prix de chaque rue ?
La bonne nouvelle pour les automobilistes patriotes : la Bavière n’est plus désavantagée au moment de faire le plein. « Les différences régionales ont fondu », a rapporté l’ADAC la semaine dernière. D’après cela, la Bavière est retombée dans la moyenne en ce qui concerne les prix des carburants, avec une moyenne de 1.935 euros pour un litre de Super et 2.135 euros pour un litre de diesel. Le Schleswig-Holstein et Brême sont en tête, chacun avec une avance de quelques centimes. Ou en bref : faire le plein est désormais à peu près aussi inabordable pour tout le monde.
Il ne reste donc que la vieille comparaison avec l’Autriche. Il est vrai que les prix des carburants pourraient bientôt augmenter là aussi, en raison d’une nouvelle « taxe sur le CO2 ». Mais le statut de pays de nostalgie pour les touristes bavarois s’est développé pendant trop longtemps pour perdre un peu plus à cause de cela. Sauf peut-être que vous faites comme la France. Là-bas, dans certaines zones frontalières, la vente de carburant en bidon est pour l’instant interdite en raison des grèves des raffineries et des pénuries de carburant, si bien que les Allemands ne font plus le plein de leurs voitures. Imaginez le tollé en Bavière si de telles limites s’appliquaient également aux stations-service du Tyrol à l’avenir.
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