Le 31 janvier marque le cinquième anniversaire du retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne, un événement célébré par ceux qui ont voté pour le Brexit. Bien que ce jour ait été un symbole de liberté, il a également été suivi de défis, notamment la pandémie de Covid. Les questions sur la gestion de la croissance démographique et les attentes envers les dirigeants politiques soulignent la nécessité d’une action déterminée pour répondre aux besoins du peuple britannique.
Un Jour de Fierté et de Réflexion
Aujourd’hui, le 31 janvier, est une date qui mérite d’être gravée dans la mémoire de chaque écolier. C’est un moment historique qui devrait être célébré chaque année, marquant un tournant décisif pour notre nation. Bien que certains puissent ignorer la signification de cette journée, elle a été effacée des livres d’histoire par ceux qui regrettent encore la décision de confier aux citoyens ordinaires le pouvoir de voter lors d’un référendum sur l’avenir du Royaume-Uni dans l’UE. Ce jour-ci marque le cinquième anniversaire du retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne, un événement qui n’a pas été accompagné de défilés ni de discours officiels, mais qui résonne profondément dans notre histoire.
Un Élan de Liberté et de Responsabilité
Il y a cinq ans, lorsque le carillon de Big Ben a retenti à 23 heures, j’étais sur la scène de Parliament Square, vêtue d’une robe aux couleurs du drapeau britannique, entourée de fervents partisans du Brexit, tandis que des milliers de Britanniques agitaient des drapeaux en célébrant notre liberté retrouvée. Avec 52 % des voix, nous avions défié les alarmes de la campagne pro-européenne pour nous libérer de la bureaucratie de Bruxelles. J’étais fière que nous ayons résisté à la pression de l’establishment pro-européen qui a tenté de diminuer notre choix pendant trois ans et demi suivant le vote. Bien que ce jour-là ait été synonyme d’espoir, il a également été suivi du confinement imposé par la pandémie de Covid, un paradoxe que peu avaient anticipé.
Malgré les défis, je ne regrette pas une seconde mon vote pour quitter l’UE. Ma motivation principale était de restaurer la responsabilité démocratique. Les décisions concernant nos vies doivent être prises par des personnes responsables devant le peuple, et non par des entités non élues. Bien que notre classe politique ait souvent échoué à saisir les opportunités offertes par le Brexit, nous avons désormais le pouvoir de tenir nos dirigeants responsables de leurs actions. Nous continuerons à les surveiller jusqu’à ce qu’ils exploitent pleinement les libertés que le Brexit nous a offertes. En regardant vers l’avenir, je suis convaincue que les meilleures années de notre pays sont encore à venir, et un jour, je sortirai ma robe aux couleurs du drapeau britannique pour célébrer comme il se doit notre indépendance.
En parallèle, nous devons également nous interroger sur la façon dont nous allons gérer la croissance démographique de notre nation. Les prévisions indiquent que la population britannique pourrait dépasser 72 millions d’ici 2032, en grande partie en raison d’une immigration nette de cinq millions de personnes. Cette situation soulève des questions cruciales : où trouveront-elles un logement ? Quelles seront les conditions d’éducation pour leurs enfants ? Comment assurerons-nous un approvisionnement adéquat en services de santé et en infrastructures essentielles ? Ces interrogations restent sans réponses claires, et notre gouvernement semble peu préparé à cette réalité.
Enfin, en observant les actions de leaders comme Donald Trump aux États-Unis, qui a pris des mesures audacieuses pour redynamiser son administration, je ne peux m’empêcher de souhaiter que nos dirigeants démontrent la même détermination. La situation actuelle de notre gouvernement, qui peine à inciter les fonctionnaires à retourner au travail, souligne un besoin urgent de changement. Le moment est venu pour nos leaders d’agir avec courage et de prendre des décisions qui répondent aux attentes du peuple britannique.