Le prix du gaz freine déjà à partir de février ?

[ad_1]

Statut : 01.11.2022 18:12

A la veille des consultations avec les Etats fédéraux sur les milliards de secours, la Chancellerie propose que le frein du prix du gaz s’applique à partir de février. Le frein du prix de l’électricité se dessine également.

Par Moritz Rödle, ARD Capital Studio

Un jour avant les prochaines consultations fédérales et étatiques sur l’allégement prévu d’un milliard d’euros dans la crise énergétique, la Chancellerie a envoyé un projet de résolution aux États. Elle lui va bien ARD Capital Studio avant de.

La surprise est au tout début du document de neuf pages. En page 2, il est annoncé que le frein du prix de l’essence s’appliquera à partir du 1er mars. Cependant, avec l’ajout : « La rétroactivité au 1er février est recherchée. » C’est surprenant car la commission d’experts a de nouveau souligné lundi qu’un effet antérieur de l’instrument de frein sur le prix du gaz ne serait pas techniquement réalisable.

Maintenant, le bureau du chancelier propose un réexamen et accommode ainsi les pays qui avaient demandé un soulagement plus clair et plus rapide. En ce qui concerne les autres sources d’énergie, la Chancellerie maintient sa position. Les utilisateurs de mazout ou de granulés de bois ne doivent être relevés qu’en cas de difficultés.

Frein sur les prix de l’électricité prévu à partir de janvier

Un frein au prix de l’électricité doit prendre effet à partir de janvier. Selon le document, un quota de base de 80 % de la consommation précédente pour un prix brut de 40 cents par kilowattheure doit être mis à la disposition des ménages et des petites entreprises. La différence entre le prix du marché à payer et le plafond devrait être compensée mensuellement par les fournisseurs directement avec la remise en guise de dégrèvement. La consommation historique devrait probablement être basée sur la prévision de consommation annuelle.

Le gouvernement fédéral prévoit également un frein au prix de l’électricité pour les entreprises industrielles. Ils devraient obtenir un prix net garanti de 13 cents par kilowattheure pour un quota d’électricité de base de 70 % de la consommation historique, qui est basé sur la consommation annuelle pour 2021.

Une partie de l’argent pour l’allègement du secteur de l’électricité doit être collectée auprès des entreprises en prélevant des bénéfices dits aléatoires. « Afin de financer les secours dans le secteur de l’électricité, les bénéfices aléatoires de la production d’électricité et des sociétés gazières, pétrolières et charbonnières ainsi que des raffineries seront écrémés pendant une période limitée », indique le projet.

Qui paie quoi ?

Pendant des semaines, les gouvernements fédéral et des États se sont également débattus avec le financement des transports publics locaux et l’expansion des allocations de logement, ou qui devrait en supporter les coûts. Une ligne de compromis devient maintenant visible ici aussi. Le document précise que le financement partagé doit rester avec l’aide au logement. Les Länder avaient exigé que le gouvernement fédéral assume une part plus importante des coûts supplémentaires occasionnés par l’augmentation.

En ce qui concerne les coûts des transports publics, la chancellerie semble toutefois vouloir se rapprocher des États fédéraux. Le document mentionne des fonds de régionalisation supplémentaires d’un milliard d’euros, qui devraient augmenter de trois pour cent par an à l’avenir. Que cela soit suffisant pour les pays est discutable. Là, il est dit que le double de la somme est nécessaire pour pouvoir financer le billet de 49 euros prévu. Ce serait donc plutôt un billet à 69 euros. De plus, l’augmentation annuelle de trois pour cent ne compense même pas l’inflation.

L’argent des citoyens dans le comité de médiation ?

Dans le dernier point du document, la Chancellerie tient à déclarer que la décision clarifie enfin la question du partage de la charge financière entre le gouvernement fédéral et les gouvernements des États en ce qui concerne le frein au prix du gaz et le paquet de secours. Le gouvernement fédéral craint apparemment qu’en cas d’éventuelle commission de médiation entre le gouvernement fédéral et les gouvernements des États sur la question de l’introduction de la nouvelle allocation citoyenne, les États tentent également de renégocier des éléments tels que les allocations de logement ou les fonds de régionalisation. Il est difficile d’imaginer que les Länder accepteraient une telle formulation, qui anticipe le résultat d’un comité de médiation.

Frein du prix de l’essence à partir de février

Jörg Poppendieck, ARD Berlin, 1er novembre 2022 16h11

[ad_2]

Source link -15