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L’autorité britannique de la concurrence et des marchés (CMA) appelle le public à partager son point de vue sur le projet d’acquisition d’Activision Blizzard par Microsoft pour 69 milliards de dollars.
Il s’agit de la prochaine étape de l’enquête en cours de la CMA sur l’acquisition, qui est entrée dans la phase 2 début septembre lorsque le régulateur a décidé que l’accord nécessitait un examen plus approfondi.
La semaine dernière, dans le cadre de la phase 2, l’AMC a publié son énoncé des enjeux, détaillant l’objectif de la deuxième étape de l’enquête et exposant les domaines de préoccupation potentiels – connus sous le nom de «théories du préjudice» – sur lesquels elle enquête. Celles-ci concernent l’impact de l’acquisition sur les services d’abonnement multi-jeux, l’avenir du cloud gaming et la disponibilité du contenu Activision sur les plateformes concurrentes.
Comme expliqué sur la page d’orientation de l’enquête de la CMA (merci GamesIndustry.biz), la publication de son énoncé des problèmes signifie désormais que nous en sommes au point où « nous invitons quiconque, y compris les membres du public, à partager leurs points de vue avec nous ». Au total, le public a deux occasions de partager ses points de vue et ses preuves avec l’AMC au cours de la phase 2 – la seconde étant en réponse à ses conclusions provisoires, qui peuvent inclure des solutions potentielles à ses préoccupations.
Tous les détails sur la manière de contacter l’AMC concernant l’accord Microsoft-Activision sont fournis sur sa page d’orientation, mais le régulateur note qu’il « peut ne pas être en mesure de reconnaître et de répondre individuellement » aux e-mails compte tenu du volume prévu de soumissions.
La phase 2 de l’enquête de la CMA sur l’accord proposé entre Microsoft et Activision Blizzard a pour date butoir le 1er mars de l’année prochaine.
L’AMC est loin d’être le seul organisme de réglementation à enquêter sur l’acquisition, bien sûr. La propre enquête de la Federal Trade Commission est toujours en cours aux États-Unis, par exemple, tandis que le Conseil administratif brésilien pour la défense économique (CADE) a approuvé l’accord au début du mois.
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