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La porte-parole du Premier ministre Rishi Sunak semble abandonner l’examen de la relocalisation ordonné par l’ancienne dirigeante britannique Liz Truss.
Le Royaume-Uni n’a « pas l’intention » de déplacer son ambassade d’Israël à Jérusalem, selon une porte-parole du Premier ministre Rishi Sunak, rejetant l’examen de son prédécesseur sur un éventuel déménagement de l’ambassade loin de Tel-Aviv.
La porte-parole de Sunak, qui a remplacé Liz Truss au poste de Premier ministre la semaine dernière, a déclaré aux journalistes jeudi que l’idée de relocalisation avait été « examinée » sous l’administration précédente.
Lorsqu’on lui a demandé si le Royaume-Uni envisageait toujours la relocalisation, elle a déclaré que le gouvernement n’avait «pas [such] des plans ».
Le Royaume-Uni a installé pendant des décennies son ambassade à Tel-Aviv, où la plupart des autres pays ont leurs avant-postes diplomatiques, bien qu’Israël ait désigné Jérusalem comme sa capitale.
L’annonce de Truss fin septembre qu’elle envisageait de déplacer l’ambassade à Jérusalem a été bien accueillie à l’époque par le Premier ministre israélien Yair Lapid, mais a provoqué une réaction violente de la part du gouvernement palestinien, de groupes pro-palestiniens, de responsables religieux britanniques et de ministres européens des Affaires étrangères, entre autres.
Jérusalem reste au cœur du conflit israélo-palestinien qui dure depuis des décennies, l’Autorité palestinienne (AP) insistant sur le fait que Jérusalem-Est – illégalement occupée par Israël depuis 1967 – devrait servir de capitale à un État palestinien.
Il existe un consensus mondial contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël tant que le conflit palestinien n’est pas résolu.
Mais les États-Unis ont ouvert une ambassade dans la ville en 2018 sous l’ancien président Donald Trump, rompant avec des décennies de politique américaine en la reconnaissant comme la capitale d’Israël.
Cette décision a été bien accueillie par Israël et critiquée par le monde arabe et les alliés occidentaux.
À l’époque, le Royaume-Uni, sous la direction de la première ministre de l’époque, Theresa May, avait déclaré qu’il n’avait pas l’intention de déplacer son ambassade et était publiquement en désaccord avec la décision des États-Unis.
Actuellement, seuls les États-Unis, le Kosovo, le Honduras et le Guatemala ont leurs ambassades à Jérusalem.
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