Le saint patron a de quoi parler

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De

Alexandra Vettori, Dachau

Certains dans le public ont visiblement avalé ce qu’ils ont entendu jeudi soir lors de la table ronde « Thoma et son ambivalence ». Le Ludwig-Thoma-Gemeinde Dachau, une association culturelle pour le soin de l’héritage poétique de Thoma et de la littérature bavaroise, avait invité. Avec un regard sur le côté extrémiste de droite et antisémite de Thomas, la communauté a pour la première fois été confrontée à un sujet à l’occasion de son 90e anniversaire qui aura non seulement un impact sur elle-même, mais aussi sur la ville de Dachau. Comme on le sait, le poète local y est tenu en haute estime, car il a vécu ici de 1894 à 1897 et a travaillé comme avocat et a toujours adoré Dachau. Aujourd’hui, il y a une prairie de Thoma dans la ville, où se déroule la fête folklorique, une Ludwig-Thoma-Straße, une pierre commémorative et la Ludwig-Thoma-Haus municipale, où la table ronde a également eu lieu.

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