[ad_1]
Un tribunal belge a annulé la décision de libérer Niccolò Figà-Talamanca, l’un des principaux suspects de l’enquête en cours sur la corruption du Qatargate, avec un moniteur électronique, ce qui signifie qu’il restera détenu dans l’attente de son procès.
Le parquet fédéral a déclaré mardi avoir obtenu gain de cause devant la chambre d’accusation contre la décision du 14 décembre d’accorder à Figà-Talamanca une libération surveillée. Ni le bureau du procureur ni les avocats de Figà-Talamanca n’ont répondu à une demande de commentaire sur les raisons de l’annulation de sa libération.
Figà-Talamanca est l’une des quatre personnes arrêtées à Bruxelles pour des accusations liées au soi-disant scandale du Qatargate qui a secoué la capitale européenne avec des allégations centrées sur l’influence du Qatar et du Maroc au Parlement européen. Figà-Talamanca est secrétaire générale de l’une des ONG liées au scandale, No Peace Without Justice, qui travaille sur l’État de droit et les droits de l’homme.
Jeudi dernier, un tribunal belge a également rejeté une demande de l’ancienne vice-présidente du Parlement européen Eva Kaili d’être libérée avec un moniteur électronique, prolongeant sa période de détention d’un mois. Kaili a décidé de ne pas faire appel de cette décision, passant Noël dans la prison de Haren.
Un autre suspect dans l’enquête en cours, l’ancien eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri, a également comparu devant la chambre d’accusation mardi, mais une autre audience sur son affaire a été reportée au 17 janvier.
[ad_2]
Source link -44