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© Reuters
Par Peter Infirmière
Investing.com – Les marchés boursiers européens se sont négociés à la baisse après une série de manifestations en Chine ce week-end, contre les restrictions strictes de mobilité pour lutter contre l’épidémie de COVID en cours dans le pays, ont ébranlé le sentiment et menacé de peser sur l’activité économique.
À 03h45 ET (08h45 GMT), le en Allemagne s’échangeait en baisse de 0,4%, en France en baisse de 0,5% et le au Royaume-Uni en baisse de 0,7%.
Des manifestations rares et généralisées ont eu lieu dans toute la Chine au cours du week-end alors que la population s’est rebellée contre les restrictions strictes contre les coronavirus mises en place alors que les infections au COVID-19 atteignaient un cinquième record quotidien.
La vague de désobéissance civile découle de la frustration suscitée par la politique zéro COVID du pays près de trois ans après le début de la pandémie, d’autant plus que les restrictions étaient devenues moins onéreuses au début du mois, laissant espérer une réouverture complète.
L’économie chinoise est la deuxième au monde et un marché d’exportation majeur pour les entreprises européennes.
Les investisseurs écouteront également un discours du président de la BCE au Parlement européen plus tard lundi, avant la publication des données mercredi.
L’inflation dans la zone euro a grimpé à 10,6 % en octobre, soit plus de cinq fois l’objectif de 2 % de la Banque centrale européenne. La Banque centrale a augmenté ses taux d’un record de 75 points de base lors de ses deux dernières réunions, mais l’incertitude existe quant à savoir si la banque centrale augmentera de 50 ou 75 points de base lors de la réunion du 15 décembre.
Dans l’actualité des entreprises, l’action Brenntag (ETR 🙂 a chuté de plus de 10 % après que la société allemande de distribution de produits chimiques a annoncé ce week-end qu’elle avait eu des discussions préliminaires avec son rival américain Univar Solutions (NYSE 🙂 sur une éventuelle acquisition.
L’action Superdry (LON:) a chuté de 1,1%, n’ayant pas réussi à conserver ses premiers gains après que le groupe de mode britannique a confirmé les informations de presse du week-end selon lesquelles il était en pourparlers avec un fonds spéculatif soutenu par Elliott Management pour refinancer une facilité de dette cruciale.
Les prix du pétrole brut ont chuté lundi, alors que l’augmentation des cas de COVID-19 en Chine, premier importateur mondial de brut, et les protestations contre les strictes restrictions de mobilité du pays sont susceptibles d’affecter la demande de la source cruciale.
Du côté de l’offre, les responsables du Groupe des Sept et de l’Union européenne n’ont pas été en mesure de s’entendre sur un niveau de plafonnement des prix du pétrole russe, après des discussions initiales entre 65 et 70 dollars le baril.
Le plafonnement des prix devrait entrer en vigueur le 5 décembre lorsqu’une interdiction de l’UE sur le brut russe débutera.
C’est le lendemain de la prochaine réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de ses alliés, connue sous le nom d’OPEP+, pour discuter des futurs niveaux de production.
À 03 h 45 HE, les contrats à terme s’échangeaient en baisse de 2,8 % à 74,14 $ le baril, tandis que le contrat chutait de 2,8 % à 81,38 $. Le contrat américain est tombé à son plus bas depuis fin décembre 2021, tandis que le contrat Brent est tombé à son plus bas depuis le 11 janvier.
De plus, il a augmenté de 0,2 % à 1 757,55 $ l’once, alors qu’il s’échangeait en hausse de 0,3 % à 1,0423.
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