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Miriam Groppelli, 6 ans, servante d’autel à Milan, n’était que l’une des milliers de visiteurs venus rendre hommage au défunt pape Benoît XVI lorsque les portes de la basilique Saint-Pierre se sont ouvertes avant l’aube mardi matin.
Elle et son père, Giuseppe Groppelli, 40 ans, ont voyagé en train au petit matin pour offrir leur hommage, ainsi que les grands-parents de l’enfant, son frère et ses sœurs aînés.
Lundi, le premier jour où le grand public a pu voir le corps, environ 65 000 personnes en deuil ont traversé le Vatican pour voir le pontife allongé en état, soit le double du nombre prévu par les responsables de la sécurité italienne. Le troisième jour de visionnage est fixé au mercredi.
Jeudi, le pape François dirigera la messe de funérailles sur la place Saint-Pierre pour son prédécesseur
Benoît, qui, en tant que cardinal allemand Joseph Ratzinger, avait servi pendant des décennies au Vatican en tant que gardien de l’orthodoxie doctrinale de l’Église, était connu pour ses connaissances théologiques et ses discours éloquents, qu’il écrivait lui-même, contrairement à beaucoup de ses prédécesseurs.
Benoît n’étant plus à la tête de l’État de la Cité du Vatican à sa mort, seuls deux pays, l’Italie et son Allemagne natale, enverront des délégations officielles à ses funérailles.
Les dirigeants politiques et la royauté, en particulier des pays à prédominance catholique, sont également attendus à titre privé.
N’ayant pas besoin d’élire un nouveau pontife après la mort de cet ancien pape, les cardinaux qui assistent aux funérailles ne resteront pas pour se réunir en conclave secret pour choisir l’homme qui aidera à façonner l’orientation de l’Église.
Dans un reflet possible de l’absence d’intrigue immédiate qui se construit généralement avant un conclave, François a surtout mené les affaires comme d’habitude depuis la mort de Benoît.
Le secrétaire personnel de longue date du pape émérite Benoît XVI a écrit un livre révélateur que son éditeur a promis lundi de dire la vérité sur les « calomnies flagrantes, les sombres manœuvres », les mystères et les scandales qui ont souillé la réputation d’un pontife surtout connu pour sa démission historique .
« Rien que la vérité : ma vie à côté du pape Benoît XVI » de l’archevêque Georg Gaenswein est publié ce mois-ci par le Piemme du géant italien de l’édition Mondadori, selon un communiqué de presse.
Gaenswein, un prêtre allemand de 66 ans, s’est tenu aux côtés de Benoît pendant près de trois décennies, d’abord en tant que fonctionnaire travaillant pour le cardinal Joseph Ratzinger de la Congrégation pour la doctrine de la foi, puis à partir de 2003 en tant que secrétaire de Ratzinger.
Il est resté le gardien, le confident et le protecteur de Benoît pendant une décennie de retraite, tout en servant jusqu’à récemment comme préfet de la maison papale de François. C’est Gaenswein qui a célébré le sacrement de l’onction des malades mercredi dernier lorsque la santé de Benoît s’est détériorée, et c’est lui qui a appelé François samedi pour lui annoncer que Benoît était décédé.
Regardez la vidéo dans le lecteur ci-dessus.
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