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BATHINDA : Le nouveau rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) déclare que les pays qui ne reconnaissent pas les opportunités offertes par une « révolution verte » courent le risque d’accroître les inégalités sociales, les troubles civils et des économies moins compétitives si les transitions proposées vers des trajectoires d’émissions nettes nulles ne sont pas bien gérées. Le rapport a été publié vendredi, avant les prochaines négociations sur le climat de la COP27.
Alors que les pays passent à des économies durables, il est essentiel que le processus se déroule de manière juste et équitable. La notion de « transition juste » est la clé pour atteindre les objectifs climatiques mondiaux de l’Accord de Paris.
Le rapport constate que la « transition juste » est désormais référencée dans 38 % des derniers engagements nationaux en matière de climat dans le cadre de l’Accord de Paris et dans 56 % des stratégies à long terme, mais il reste encore du travail à faire.
Le rapport, How Just Transition Can Deliver the Paris Agreement, analyse à la fois les engagements climatiques à court terme renforcés, connus sous le nom de contributions déterminées au niveau national, ou NDC, et les stratégies à long terme dans lesquelles les pays décrivent leurs plans pour le zéro net. Il présente les approches utilisées dans cinq pays leaders en matière de transition juste : Antigua-et-Barbuda, Costa Rica, Inde, Serbie et Afrique du Sud. Il identifie également cinq moyens clés par lesquels une transition juste peut contribuer à la réalisation de l’Accord de Paris.
« Alors que le changement climatique s’intensifie et que le monde fait face à une immense crise énergétique, de nombreux pays se découplent des combustibles fossiles et investissent dans l’infrastructure énergétique verte de demain – désormais le seul choix économique logique », déclare l’administrateur du PNUD, Achim Steiner. « Ce nouveau rapport fournit des informations concrètes sur la manière d’accélérer l’élan autour d’une transition juste et équitable pour le secteur de l’énergie et au-delà : tout, depuis la fourniture aux travailleurs de nouvelles compétences en matière d’économie verte et l’accès à la protection sociale ; pour garantir que les contributions déterminées au niveau national des pays tracent une voie claire vers un avenir net zéro.
Le rapport conclut que : sur les 170 pays qui avaient soumis une CDN améliorée au 31 octobre 2022, 65 (38 %) font explicitement référence à la transition juste. Il y a une répartition presque égale entre les pays développés et les pays en développement (51 % contre 49 %), avec l’Europe centrale et orientale en tête, suivie par les Amériques et les Caraïbes, et l’Afrique. L’Asie-Pacifique et les États arabes sont à la traîne. Cependant, seuls 11 pays (17 %) ont un chapitre ou une section dédié dans leur CDN à la transition juste.
Sur les 52 stratégies à long terme (LTS) soumises au 31 octobre 2022, 29 (56 %) font explicitement référence à la transition juste, dont 17 proviennent de pays d’Europe et d’Asie centrale, suivis des régions d’Asie-Pacifique et des Amériques et les Caraïbes. L’Afrique et les États arabes sont à la traîne. Même s’ils s’en sortent mieux que les plans à court terme, seuls 16 pays (55 %) ont un chapitre ou une section consacré à la transition juste dans leur C’EST.
La plupart des pays dotés de CDN renforcées, qui font référence à la transition juste, la lient à des considérations socio-économiques (72 %) et/ou proposent des actions et des mesures concrètes de transition juste (66 %).
Cependant, le rapport constate que les pays ne parviennent pas à établir des liens avec les objectifs de développement durable (ODD) ou l’égalité des sexes dans les plans climatiques à court ou à long terme – ce qui représente une occasion manquée importante. Parmi les pays faisant référence à une transition juste, actuellement seuls 6 et 4 pays lient la transition juste aux objectifs de développement durable dans leurs CDN et LTS respectivement, et seuls 10 et 7 font référence aux implications sexospécifiques d’une transition juste dans leur CDN et LTS respectivement.
Le rapport note que le secteur de l’énergie reçoit le plus d’attention pour une transition juste, cependant, une approche globale de l’ensemble de l’économie et de l’ensemble de la société – une approche qui aborde tous les secteurs et sécurise l’adhésion de tous – est nécessaire afin d’apporter les plus grands gains de développement.
Dans le cadre de la promesse climatique, le PNUD aide 34 pays à renforcer les principes, processus et pratiques de transition juste en utilisant le cadre du PNUD pour l’intégration de la transition juste dans les CDN et les LTS. Cet accompagnement s’articule autour de quatre axes : évaluation ; engagement; la politique institutionnelle et le renforcement des capacités, et le financement, pour accroître la sensibilisation des pays aux principes d’une transition juste, renforcer leur capacité à s’engager dans des processus de transition juste et développer leur capacité à mettre en œuvre des pratiques de transition juste.
Alors que les pays passent à des économies durables, il est essentiel que le processus se déroule de manière juste et équitable. La notion de « transition juste » est la clé pour atteindre les objectifs climatiques mondiaux de l’Accord de Paris.
Le rapport constate que la « transition juste » est désormais référencée dans 38 % des derniers engagements nationaux en matière de climat dans le cadre de l’Accord de Paris et dans 56 % des stratégies à long terme, mais il reste encore du travail à faire.
Le rapport, How Just Transition Can Deliver the Paris Agreement, analyse à la fois les engagements climatiques à court terme renforcés, connus sous le nom de contributions déterminées au niveau national, ou NDC, et les stratégies à long terme dans lesquelles les pays décrivent leurs plans pour le zéro net. Il présente les approches utilisées dans cinq pays leaders en matière de transition juste : Antigua-et-Barbuda, Costa Rica, Inde, Serbie et Afrique du Sud. Il identifie également cinq moyens clés par lesquels une transition juste peut contribuer à la réalisation de l’Accord de Paris.
« Alors que le changement climatique s’intensifie et que le monde fait face à une immense crise énergétique, de nombreux pays se découplent des combustibles fossiles et investissent dans l’infrastructure énergétique verte de demain – désormais le seul choix économique logique », déclare l’administrateur du PNUD, Achim Steiner. « Ce nouveau rapport fournit des informations concrètes sur la manière d’accélérer l’élan autour d’une transition juste et équitable pour le secteur de l’énergie et au-delà : tout, depuis la fourniture aux travailleurs de nouvelles compétences en matière d’économie verte et l’accès à la protection sociale ; pour garantir que les contributions déterminées au niveau national des pays tracent une voie claire vers un avenir net zéro.
Le rapport conclut que : sur les 170 pays qui avaient soumis une CDN améliorée au 31 octobre 2022, 65 (38 %) font explicitement référence à la transition juste. Il y a une répartition presque égale entre les pays développés et les pays en développement (51 % contre 49 %), avec l’Europe centrale et orientale en tête, suivie par les Amériques et les Caraïbes, et l’Afrique. L’Asie-Pacifique et les États arabes sont à la traîne. Cependant, seuls 11 pays (17 %) ont un chapitre ou une section dédié dans leur CDN à la transition juste.
Sur les 52 stratégies à long terme (LTS) soumises au 31 octobre 2022, 29 (56 %) font explicitement référence à la transition juste, dont 17 proviennent de pays d’Europe et d’Asie centrale, suivis des régions d’Asie-Pacifique et des Amériques et les Caraïbes. L’Afrique et les États arabes sont à la traîne. Même s’ils s’en sortent mieux que les plans à court terme, seuls 16 pays (55 %) ont un chapitre ou une section consacré à la transition juste dans leur C’EST.
La plupart des pays dotés de CDN renforcées, qui font référence à la transition juste, la lient à des considérations socio-économiques (72 %) et/ou proposent des actions et des mesures concrètes de transition juste (66 %).
Cependant, le rapport constate que les pays ne parviennent pas à établir des liens avec les objectifs de développement durable (ODD) ou l’égalité des sexes dans les plans climatiques à court ou à long terme – ce qui représente une occasion manquée importante. Parmi les pays faisant référence à une transition juste, actuellement seuls 6 et 4 pays lient la transition juste aux objectifs de développement durable dans leurs CDN et LTS respectivement, et seuls 10 et 7 font référence aux implications sexospécifiques d’une transition juste dans leur CDN et LTS respectivement.
Le rapport note que le secteur de l’énergie reçoit le plus d’attention pour une transition juste, cependant, une approche globale de l’ensemble de l’économie et de l’ensemble de la société – une approche qui aborde tous les secteurs et sécurise l’adhésion de tous – est nécessaire afin d’apporter les plus grands gains de développement.
Dans le cadre de la promesse climatique, le PNUD aide 34 pays à renforcer les principes, processus et pratiques de transition juste en utilisant le cadre du PNUD pour l’intégration de la transition juste dans les CDN et les LTS. Cet accompagnement s’articule autour de quatre axes : évaluation ; engagement; la politique institutionnelle et le renforcement des capacités, et le financement, pour accroître la sensibilisation des pays aux principes d’une transition juste, renforcer leur capacité à s’engager dans des processus de transition juste et développer leur capacité à mettre en œuvre des pratiques de transition juste.
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