Les fondateurs peuvent « inverser » les startups en Inde


L’étude économique a souligné la nécessité d’un paysage de conformité plus facile pour les startups et d’avoir des politiques et des structures pour motiver les startups indiennes à revenir à leurs racines. Afin de conserver la propriété intellectuelle (PI) des innovateurs dans le pays et de les inciter à retourner leur domicile en Inde, l’Étude économique a défini une série de mesures et appelé à « une action collective par les autorités réglementaires liées au gouvernement ». organismes et autres parties prenantes ».
C’est une caractéristique commune parmi les entreprises et les startups de la nouvelle ère, en particulier les entreprises technologiques, d’avoir leur siège social à l’étranger dans des destinations avec des conditions favorables. juridique environnements et politiques fiscales, et plus proche des clients. Ceci est techniquement appelé « retournement » et implique le transfert de la totalité de la propriété d’une société indienne à une entité étrangère, accompagné d’un transfert de toute la propriété intellectuelle et de toutes les données. L’enquête a appelé à la nécessité de mettre fin au « retournement » et a également proposé certaines mesures qui peuvent aider les fondateurs indiens à « inverser » leur entité en Inde.
Parmi les mesures proposées figurent la simplification de l’octroi de Conseil interministériel (IMB) certification pour les startups qui permet de les valider et de les reconnaître et pour l’octroi d’avantages fiscaux. Actuellement, l’obtenir est un processus fastidieux impliquant un temps et un coût énormes. La simplification de l’imposition des options d’achat d’actions des employés (ESOP) – un sujet qui reste un élément dissuasif clé pour les fondateurs qui décident de fonder leurs entreprises en Inde – est une autre mesure.
L’enquête a également souligné la nécessité de simplifier « les multiples couches d’impôt et d’incertitude dues aux litiges fiscaux », et a souligné des procédures plus simples pour les flux de capitaux, et cite des exemples des États-Unis et de Singapour comme pays avec des lois sur les sociétés plus faciles avec moins de restrictions sur les entrées. et sorties de capitaux. En outre, il a également appelé à des mesures pour promouvoir l’action entrepreneuriale en partenariat avec des incubateurs et d’autres institutions, entre autres.
«Le phénomène de retournement reflète les startups qui s’aventurent pour des gains à court terme dans un monde géopolitique dynamique et incertain. Cependant, le retournement peut être inversé avec l’action collective des organismes de réglementation liés au gouvernement et d’autres parties prenantes », lit-on dans l’enquête.
L’appel de l’enquête à un « retournement inversé » intervient à un moment où TéléphonePe a récemment révélé qu’il avait dépensé près de Rs 8 000 crore en fonds pour retourner la propriété en Inde. De plus en plus de startups envisageraient également le retournement pour assurer la création de valeur en Inde, mais le coût et la complexité des procédures impliquées font obstacle.





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