Les ventes de carburant d’octobre affichent la plus forte croissance en volume en 4 mois grâce à un coup de pouce festif

[ad_1]

NEW DELHI: Le carburant Les ventes ont enregistré leur plus forte croissance en volume depuis juin en octobre, grâce à une demande festive indiquant un fort rebond économique après une mousson prolongée, ont montré mardi les données de l’industrie.
Les distributeurs publics de carburants, qui contrôlent 90% du marché, ont vendu 6,5 millions de tonnes de diesel, indicateur des activités économiques, et près de 2,7 millions de tonnes d’essence en octobre. Ces chiffres sont les plus élevés depuis juin, lorsque les ventes de diesel s’élevaient à 7,8 millions de tonnes et d’essence à 2,8 millions de tonnes.
En termes de pourcentage d’augmentation par rapport à il y a un an, les ventes de diesel et d’essence ont augmenté de 12 %. La croissance était beaucoup plus élevée à 13,6% et 21,4%, respectivement, par rapport à la pré-pandémie 2019.
Séquentiellement, la consommation de diesel en octobre a augmenté de 9,7 % et celle d’essence de 4,8 % par rapport à septembre, au plus haut depuis août.
La croissance des ventes de carburant coïncide avec une estimation des ventes record d’automobiles en octobre et une augmentation de 7,9 % de la croissance du secteur de base en septembre, ce qui aurait entraîné une augmentation des mouvements de matériaux et de produits finis au cours du mois sous revue.
La forte augmentation du volume de diesel est attribuée à la récolte lorsque les agriculteurs utilisent des batteuses et des tracteurs, etc. et à davantage de trajets routiers vers des destinations de vacances et de visites familiales.
En effet, la saison des fêtes a également fait grimper les ventes de kérosène de plus de 26 % par rapport à il y a un an et de 3,8 % de plus qu’en septembre, les gens prenant le ciel pour des vacances ou pour rendre visite à de la famille. Les ventes étaient cependant inférieures de 14 % à celles de 2019 avant la pandémie.
GPL, ou gaz naturel liquéfié fourni comme combustible pour la cuisson des ménages, la consommation était inférieure de 1 % à celle d’il y a un an, mais supérieure de 5 % à celle de l’année pré-pandémique. Séquentiellement aussi, la consommation a été légèrement inférieure à celle de septembre, en grande partie à cause de la préférence des gens pour manger au restaurant pendant les festivités.



[ad_2]

Source link -37