Lettres à l’éditeur : comment le faible salaire des aides à domicile dévaste les familles dans le besoin

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Pour l’éditeur: Mon plus jeune petit-fils, maintenant âgé de 5 ans, est né avec une dystrophie musculaire congénitale et est lié à vie à un fauteuil roulant. Il dépend à 100% des soignants pour tous les aspects de la vie quotidienne. («  » Nous finirons dans la rue « : les soignants de Los Angeles pour les personnes âgées et handicapées poussent pour un salaire plus élevé », 27 novembre)

Ses parents divorcent à cause du stress. (Le taux de divorce parmi les familles ayant des besoins spéciaux est incroyablement élevé.) Son père, un récent étudiant en médecine, a la garde complète de leurs trois enfants. En tant que grand-mère, j’ai passé des centaines d’heures à défendre les soins de notre petit-fils alors que je regardais le mariage s’effondrer.

Cela a été une tâche incroyablement difficile pour moi de combler le vide laissé par le départ de la mère; cela est rendu encore plus difficile par le marché du travail restreint et le manque de soignants disponibles pour travailler pour un salaire aussi bas. Il est ridicule de penser que nous pouvons trouver quelqu’un prêt à travailler comme soignant pour 15,50 $ de l’heure, le taux du comté de San Diego pour les services de soutien à domicile.

Les charges supplémentaires liées à la prise en charge d’un enfant gravement handicapé sont déjà assez difficiles. Il n’est humainement pas possible pour un parent seul de rechercher l’aide qu’il mérite et dont il a besoin. Un salaire plus élevé aidera certainement, mais ce n’est que la pointe de l’iceberg.

Karen Baldwin, El Cajon

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Pour l’éditeur: On estime que près de 70 % de notre population aura besoin de soins de longue durée, mais à moins que l’on tombe dans les exigences financières du programme de services de soutien à domicile, les coûts de fin de vie sont énormes.

Environ 3 % de tous les Américains ont une assurance soins de longue durée, qui est très chère. Le nôtre est l’un des rares pays prospères qui n’offrent pas de soins de longue durée.

L’économie d’avoir des soignants qui gagnent 20 $ de l’heure est stupéfiante. En Californie, le salaire à temps et demi est obligatoire après huit heures dans un seul quart de travail, ce qui revient à 30 $ de l’heure pour un soignant faisant des heures supplémentaires.

Si une personne souffre d’un trouble neurologique de longue durée comme la maladie de Parkinson ou d’un accident vasculaire cérébral majeur, les soins peuvent durer des années. À moins de se situer dans les 1 % supérieurs économiquement, c’est une tragédie financière pour le patient et la famille, sans parler des difficultés du soignant.

Il y a au moins deux faces à cette situation malheureuse, et notre société ne s’est pas préparée à faire face à cette dure réalité.

Paul Milberg, Collines boisées

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