L’humanité a anéanti 70% de tous les animaux

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Une étude alarmante du WWF |

L’humanité a anéanti 70% de tous les animaux

Et a malheureusement battu un autre record…

Selon l’organisation environnementale WWF, l’humanité a détruit près de 70 % de toutes les populations de vertébrés connues au cours des dernières décennies. Les causes de cette extinction massive d’espèces sont « toutes d’origine humaine », selon le Living Planet Report, que le WWF a publié jeudi à Berlin.

L’humanité est en train de détruire sa propre base de vie « avec le marteau-piqueur » et d’aggraver encore la « crise jumelle » de l’extinction des espèces et du changement climatique.

Le directeur exécutif du WWF Allemagne, Christoph Heinrich, a souligné que la santé, l’économie et l’existence entière de l’humanité dépendent de la nature. La nature est « comme une tour dans laquelle chaque bloc de construction représente une espèce animale ou végétale ». « Plus de pierres sont expulsées de la tour, c’est-à-dire que plus d’espèces meurent, plus elle devient instable », a expliqué Heinrich.

Le rapport désigne l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale comme le point chaud géographique de l’extinction des espèces. Les populations animales examinées là-bas ont diminué en moyenne de 94 pour cent.

Outre la destruction de l’habitat et la pollution de l’environnement, la crise climatique avec des effets tels que l’augmentation des vagues de chaleur et l’acidification des océans est l’une des principales raisons de la crise des espèces, indique le rapport. D’autre part, une modification de la composition des espèces a également un impact sur le climat de la Terre, par exemple parce que les forêts mourantes produisent moins de CO nocif pour le climat.2 pourrait sauver. « Crise des espèces et crise climatique sont fatalement liées », prévient le rapport du WWF.

On n’entendra plus longtemps leur chant joyeux si on continue comme ça : la population d’alouettes a chuté de 56 % en 39 ans

Photo : alliance photo / blickwinkel/M. Woike

Le WWF cite le gorille des plaines occidentales comme un exemple d’espèce animale particulièrement menacée : sa population dans le parc national de Nki au Cameroun a diminué de 69 % entre 2005 et 2019 seulement. Au Brésil, le nombre de dauphins du fleuve Amazone a chuté de 67 % entre 1994 et 2016. En Europe, les alouettes ont particulièrement souffert des changements environnementaux : leur population a diminué de 56 % entre 1980 et 2019.

Le WWF a appelé la Conférence mondiale sur la nature une occasion d’arrêter l’extinction des espèces. Lors de la réunion de décembre à Montréal, au Canada, un accord mondial sur la conservation de la diversité biologique doit être négocié. Le WWF a appelé le gouvernement fédéral à « s’engager sur des objectifs ambitieux pour notre nature et à porter le financement international de l’Allemagne pour la biodiversité à au moins deux milliards d’euros par an d’ici 2025 ».

Selon le WWF, les stocks croissants de pygargues à queue blanche dans le nord de l’Allemagne montrent que l’extinction des espèces peut être stoppée. En 1945, il n’y avait qu’une paire de territoires dans le Schleswig-Holstein, mais en 2010, il y en avait 57. La population de phoques gris dans la mer Baltique a augmenté de 139 % entre 2013 et 2019 seulement. Au Népal, la population de tigres a augmenté de 91%, passant de 121 individus en 2009 à 235 tigres en 2018, selon le rapport.

(kvg)

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