L’Inde peut-elle avoir un «projet Great Indian Outard» comme celui pour les tigres, SC demande au Centre


NEW DELHI: La Cour suprême a demandé mercredi au ministère de l’environnement, des forêts et du changement climatique de l’Union d’envisager de lancer ‘Projet Grande outarde indienne (GIB)’, semblable à l’effort de conservation acclamé de l’Inde à travers ‘Projet Tigre‘, pour sauver l’oiseau en danger critique d’extinction, dont le nombre est tombé à environ 150.
Un banc du juge en chef de l’Inde DY Chandrachud et des juges AS Bopanna et V Ramasubramanian a demandé au procureur général R Venkataramani de prendre des instructions du ministère à la fin de la reprise de l’audience sur un PIL déposé par l’écologiste MK Ranjitsinh, qui avait demandé l’intervention du SC pour endiguer diminution de la population de GIB dans leurs habitats principaux au Rajasthan et au Gujarat.
Le CJI a déclaré à l’AG : « Nous avons un modèle réussi dans le ‘Projet Tigre’. Ne pouvons-nous pas apporter une approche ciblée pour sauver le bel et l’un des plus grands oiseaux en lançant quelque chose comme ‘Projet GIB‘? S’il vous plaît, parlez au ministre de l’Union et revenez avec une réponse. Une nouvelle audience dans cette affaire a été fixée en janvier.
Le « Projet Tigre », lancé en 1973, est un programme centralisé (CSS) du ministère de l’environnement, des forêts et du changement climatique, fournissant un soutien financier à 18 États de l’aire de répartition du tigre pour la conservation in situ des tigres dans des réserves de tigres désignées, et a mis l’animal en voie de disparition sur une voie de guérison assurée en le sauvant de l’extinction. Il a commencé il y a cinq décennies avec neuf réserves de tigres, maintenant portées à 51 couvrant 2,23% de la zone géographique du pays.
Avocat principal Shyam Divanreprésentant le pétitionnaire, a accusé le gouvernement du Rajasthan de ne pas faire grand-chose pour se conformer aux ordonnances du SC concernant l’installation de déviateurs d’oiseaux sur les lignes électriques aériennes traversant les habitats principaux de GIB, entraînant la mort de plusieurs espèces en voie de disparition, qui manquent de bonne vision vers l’avant et entrer en collision avec les lignes de transmission.
Fait intéressant, le ministre en chef du Rajasthan, Ashok Gehlot, avait lancé le « Projet GIB » dans l’État le 5 juin 2013, au motif que l’oiseau était plus vulnérable à l’extinction que le tigre car il n’attirait pas l’attention et restait en dessous de la ligne de protection. Les modalités de conservation en 11 points du « Projet GIB » ne mentionnaient pas la mortalité des GIB due à la collision avec la transmission.
Le tribunal a ordonné aux secrétaires en chef du Rajasthan et du Gujarat de déposer des affidavits séparés dans quatre semaines détaillant les progrès réalisés dans l’installation de déviateurs d’oiseaux sur les lignes électriques aériennes traversant les zones d’habitat prioritaires du GIB.





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