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Pour les relations commerciales transfrontalières, des normes de protection sont créées en succession rapide, chacune visant un comportement indésirable dans des cas individuels. Cependant, la politique fiscale a tendance à dépasser l’impulsion réglementaire. L’objectif semble être de capturer même le dernier cas particulier qui est théoriquement à peine imaginable.
En conséquence, les entreprises allemandes sont paralysées par la peur de tout investissement. Dans le même temps, l’administration financière et les législateurs peuvent difficilement suivre le rythme des affaires courantes.
Grands projets en cours
Le modèle dit à deux piliers est actuellement en cours d’élaboration pour lancer un nouveau système fiscal mondial. Un taux d’imposition minimum mondial, une assiette aussi alignée que possible et une répartition des bénéfices selon la méthode de la formule sont prévus. Le travail acharné en vaut la peine. Parce qu’un système fiscal allemand clairement orienté vers le monde empêche non seulement les abus, mais contribue également à réduire la complexité.
Cependant, le processus qui a conduit au modèle à deux piliers n’a pas empêché la politique fiscale de continuer à philosopher sur les normes défensives les plus détaillées : la directive Debra, une proposition de déduction fictive des intérêts sur les nouveaux fonds propres, n’est qu’un exemple des grands chantiers actuellement en cours.
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De toute évidence, il est temps de réduire à nouveau considérablement le nombre de normes défensives isolées.
Robert Ullmann est auteur à la revue « Der Steuerberater » et professeur à l’Université d’Augsbourg. Cet article est issu de la coopération entre le Handelsblatt et la revue spécialisée.
Suite: Quand le Trésor devient un tueur climatique
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