[ad_1]
gMême si elle est une collaboratrice si prolifique, l’aventurière folk Meg Baird, vous le sentez, oublie parfois qu’elle a une carrière solo à maintenir au milieu de tous ses projets parallèles. Enrouleur est son premier album solo depuis 2015 N’alourdis pas la lumière, et seulement son quatrième en 16 ans. Heureusement, cela vaut bien la longue attente, en grande partie parce que la réalisation de ces chansons semble plus expansive que son travail précédent, plus épuré, avec Mellotron, des synthés – même des tambours – apparaissant aux côtés de la guitare acoustique plus familière.
Et de quelles chansons il s’agit : l’ouvreur Ashes, Ashes est un jam immersif et lâche qui est étayé par un piano et soutenu par des voix hypnotiques et sans paroles d’un autre monde. Star Hill Song trouve la magnifique voix de Baird flottant sans hâte au-dessus d’un motif de guitare sinueux qui ressemble à une Mazzy Star plus douce. Twelve Saints a des paroles (« Des tasses dans nos mains, nous regardions au loin/ Penser à des amis que nous avons perdus ») qui complètent parfaitement sa prestation contemplative. La mélodie flottante des Drives intimes sans nom – juste voix et guitare – rappelle Adrianne Lenker de Big Thief dans ce qu’elle a de plus envoûtant. C’est un délice du début à la fin.
[ad_2]
Source link -9