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BInspiré d’une série télévisée allemande pour enfants, ce long métrage dérivé reprend consciencieusement les tropes fantastiques – récit de quête, héros choisi, licornes multicolores à profusion – mais ne tire rien de convaincant de ce breuvage d’un autre monde. Sa terre narnienne de Centopia, accessible par la protagoniste Mia (Margot Nuccetelli) à travers un livre magique et un bracelet que lui a offert sa mère décédée, est représentée dans une animation criarde et ornée par le réalisateur Adam Gunn. Mais ses habitants elfes aux yeux vides résument le manque général de personnalité.
Se détendant avec son grand-père (David Willetts) dans sa maison au bord du lac, Mia est convoquée à Centopia au moment même où le crapaud mégalomane Toxor (exprimé par Paul Davies) menace à nouveau le royaume. Crachant une fumée maligne qui transforme les elfes locaux en « terreux » serviles, il a des projets pour peindre le paradis aux couleurs pastel dans les tons du Mordor (pouvez-vous lui en vouloir ?). Mia s’écrase sur un dirigeable piloté par le prince elfe Iko (exprimé par Alex Beauman), qui fuit la destruction de son île Lotus, et apprend que seuls trois joyaux magiques peuvent voir l’amphibien arrogant.
La combinaison de l’action en direct et de l’animation rappelle les efforts rétro tels que Roger Rabbit et Cool World. Mais les segments d’action en direct se limitent à la simple mise en réserve du film avec Mia et son grand-père, laissant passer une occasion de commenter l’interaction entre la réalité et la fantaisie que même le public cible des préadolescents pourrait saisir à un certain niveau. Malheureusement, Gunn vise bas avec un ton plutôt enfantin et des tendances sentencieuses qui ressemblent à des rebuts de séances de thérapie : « L’amitié est un risque, Toxor ! » Le single Walking on Sunshine vous fera souhaiter une autre bouffée d’haleine toxique.
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