Les Regrets : Pourquoi j’aurais dû prendre plus de photos de moi-même
Il y a quelques années, j’ai réalisé que j’avais très peu de photos de moi-même en tant que jeune adulte. Cela m’a laissé un fort sentiment de regret et contrariété. Si seulement j’avais pris plus de photos de moi-même, je n’aurais pas à regretter d’avoir manqué de documents sur une période de ma vie importante. Dans cet article, nous allons explorer pourquoi je n’ai pas pris autant de photos de moi-même et pourquoi j’aurais dû en prendre plus.
L’époque des mannequins
Je suis née dans une période où la culture de la mode était différente de celle d’aujourd’hui. Les années 90, l’époque des « mannequins », ont vu l’avènement de ce qu’on appelle «l’héroïne chic». En tant que fille brune à gros cul avec des hanches courbes et des cuisses fortes, je n’aimais pas mon apparence parce que je ne me voyais pas dans la culture populaire. Cependant, je comprends maintenant que j’étais belle et que j’aurais dû avoir plus confiance en moi.
L’appareil photo en évolution
À l’époque, les caméras contenaient des bobines que nous apportions à la pharmacie pour être traitées. Ce n’était pas aussi facile que maintenant, lorsque nous avons des smartphones et que nous pouvons prendre autant de photos que nous le souhaitons. À cette époque, nous étions limités par le nombre de photos que nous pouvions prendre. Avec le recul, j’aurais dû me prendre au moins en photo à chaque occasion.
Ma passion pour la photographie
Dans ma vingtaine, j’ai travaillé comme photographe, réalisant des portraits dans les grands magasins. J’ai appris l’éclairage, la composition et comment tirer le meilleur parti d’un sujet. J’étais bon dans ce domaine et je suis devenu le photographe résident de ma famille, me cachant derrière mon reflex Nikon, lors de mariages, d’anniversaires et de fiançailles. Cependant, je n’ai pas pu appliquer mes compétences à moi-même car je n’aimais pas être photographiée.
Les albums photo manqués
Après mon divorce, mon ex-mari a gardé les albums photo documentant notre temps ensemble. Ces albums contenaient la plupart des quelques photos de moi de cette décennie. Je n’ai pratiquement rien, ce qui me rend triste. Cela me ramène à l’époque où j’aurais aimé faire les choses différemment.
La beauté de l’imperfection
De nos jours, chaque fois que je suis photographiée, je partage largement les images en ligne, peu importe à quel point j’ai l’air maladroit. Mon mari a le don de me capturer à mon pire, pris dans la folie de l’éducation des enfants, mon visage révélant le bilan physique et émotionnel de la parentalité de trois garçons. Ce sont mes images préférées. Je suis heureuse d’avoir enfin compris que la beauté de l’imperfection est réelle et qu’elle est vraie pour moi-même.
Vers une vie sans regrets
Nous vivons tous selon des regret que nous n’avons pas pu éviter. Les regrets peuvent devenir pesants et ont un impact négatif sur notre vie. Pour éviter de vivre dans le regret, il est important de prendre le temps de s’arrêter pour réfléchir sur les choses que nous voulons et les choses que nous ne voulons pas pour notre vie. Si j’avais suivi cette règle, j’aurais pris plus de photos de moi-même.
En fin de compte, je regrette de ne pas avoir pris autant de photos de moi quand j’étais jeune. Mais au fil des ans, je suis devenue plus confiante en moi-même et dans ma façon de prendre des photos. Aujourd’hui, même si je suis flous ou maladroits, je ne me soucie plus de mon apparence et je suis reconnaissante de pouvoir capturer ces moments précieux. Je suis maintenant plus consciente de l’importance de vivre la vie avec moins de regrets et de capturer chaque instant de la vie.
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