Non pertinent: une critique d’Hollywood Tragicom – l’histoire d’un concurrent à grande brosse rate sa marque | Organiser

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« Vivien putain de Leigh », fulmine Millie Grable alors qu’elle entre dans son bureau d’Hollywood Boulevard pour échapper à l’intronisation de cet acteur sur le Walk of Fame de l’autre côté de la route.

Elle a raison d’être en colère. En tant qu’agent puissant des stars – la galerie de portraits qui bordent son bureau témoigne de leur calibre A-list – ce qu’elle voulait vraiment faire de sa vie était d’être acteur. Elle s’est également approchée du rêve, excellant à Rada aux côtés de Leigh, bien qu’elle nous dise tristement que « j’étais la jolie, la talentueuse ».

Il s’agit d’un monologue de regrets et d’occasions manquées, qui est une vanité assez juteuse, mais qui consiste ici en rien d’autre qu’une exposition et une trame de fond. Millie installe une caméra au début, comme si elle filmait son propre test d’écran, mais cela ressemble à une base fragile pour un drame statique qui raconte plutôt que de montrer.

Debbie Chazen est pleine de conviction dans son rôle de Millie mais ses efforts sont vains sur une pièce, écrite et mise en scène par Keith Merrill, qui semble si générique que nous ne ressentons tout simplement pas sa tragédie. Il est large dans sa caractérisation et sa représentation du ressentiment, s’appuyant sur des idées répétées et des lignes éculées. Elle nous raconte la fois où elle a essayé de coucher avec Rock Hudson (« avant que je sache ») et la fois où elle a failli décrocher le rôle de Scarlett O’Hara (« Franchement ma chérie je m’en foutais »).

Elle fume à la chaîne ou repousse les cocktails pendant qu’elle parle. De temps en temps, elle disparaît derrière les rideaux de son bureau pour cracher de la rage lors de la cérémonie de Leigh, ou attrape son téléphone pour de brefs appels à son assistant.

Des questions potentiellement intéressantes émergent de sa diatribe d’une heure : il est clair qu’elle est une réussite qui se sent un échec, une femme dans un monde d’hommes qui croit qu’on lui a refusé sa « vraie » vocation et dont les talents ont été ignorés au lieu de moins acteurs compétents. Elle fait une distinction entre ce qu’elle considère comme l’art du jeu de scène et sa moindre forme à l’écran. Ce sont des problèmes qui auraient pu constituer la base d’un jeu plus satisfaisant que celui ici sommaire.

Au Seven Dials Playhouse, Londres, jusqu’au 28 janvier

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