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Maybrit Illner invite à la nostalgie de 2015 et aborde un sujet classique du discours politique : les réfugiés. Vous n’apprenez rien de nouveau là-bas, mais vous apprenez quelque chose sur l’air du temps.
De
Jean Korsche
Pour commencer, deux faits qui, à première vue, semblent à peine liés. Tout d’abord, les pattes d’eph sont de retour à la mode : il y a quelques années, on n’aurait pas cru que cette partie des années 1970 redeviendrait populaire. D’autant plus si la prochaine légalisation du cannabis offrait des points de départ complètement différents. Et deuxièmement, la série la plus réussie au monde est StrangerThings, qui se blottit dans les années 1980 de manière transfigurante. Ce que ces deux choses disent de notre époque : Nous vivons dans un monde nostalgique. Peut-être que l’équipe éditoriale autour de Maybrit Illner s’est offert une forte gorgée de la tasse de nostalgie qui circule actuellement dans la société lorsque l’émission de jeudi était prévue. En tout cas, la lecture de la devise de l’émission réveille immédiatement les sentiments de 2015 : « Moins d’argent, plus de réfugiés – l’Allemagne est-elle encore assez forte ? »
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