Nouveau traité historique de l’ONU pour protéger la haute mer : les États membres conviennent d’un nouvel accord qui pourrait imposer des restrictions à la pêche et à l’exploitation minière des fonds marins – après 15 ANS de négociations
Les États membres de l’ONU ont enfin convenu d’un traité historique pour protéger la haute mer après 15 ans de négociations. La haute mer commence en dehors des eaux nationales des pays, qui s’étendent jusqu’à 200 milles marins (230 milles) des côtes, et ne relèvent donc de la juridiction d’aucun pays.
Les écosystèmes océaniques créent la moitié de l’oxygène que les humains respirent et limitent le réchauffement climatique en absorbant une grande partie du dioxyde de carbone. Toutefois, ils sont menacés par le changement climatique, la pollution et la surpêche.
Dans la suite de cet article, nous allons explorer les différents aspects de ce nouveau traité historique pour la protection de la haute mer.
Les enjeux de la protection de la haute mer
La protection de la haute mer est essentielle pour maintenir les écosystèmes des océans en bonne santé. Les pollutions humaines et les pratiques irresponsables ont déjà causé des dégâts irréversibles dans cet environnement naturel fragile.
Une grande partie des espèces marines sont menacées d’extinction, tandis que le réchauffement climatique et l’acidification des océans ont des impacts croissants sur la santé des écosystèmes.
Le traité historique de l’ONU
Après 15 ans de négociations, les États membres de l’ONU ont convenu d’un traité historique pour protéger la haute mer. Ce traité permettra la création d’aires marines protégées dans ces eaux et pourrait imposer des restrictions sur la pêche et sur l’exploitation minière des grands fonds marins.
La haute mer comprend plus de 60 % des océans de la planète et près de la moitié de sa surface. Seul environ 1 % de la haute mer est actuellement sous protection. Le traité est considéré comme essentiel pour atteindre l’objectif de conservation de 30% des terres et des océans du monde d’ici 2030.
Greenpeace a déclaré que 4,2 millions de kilomètres carrés d’océan devaient être protégés chaque année jusqu’en 2030 pour atteindre l’objectif.
Les conséquences de la protection de la haute mer
La mise en œuvre de ce traité aura des conséquences pour les activités humaines qui sont menées dans la haute mer. La protection de ces eaux signifie la création d’aires marines protégées et potentiellement des restrictions sur la pêche et sur l’exploitation minière des grands fonds marins.
La communauté internationale devra travailler ensemble pour trouver un juste équilibre entre la protection de la haute mer et les activités humaines qui en dépendent. Les solutions pour protéger l’environnement marin impliquent souvent une réglementation stricte pour éviter toute forme de surexploitation.
Conclusion
Le nouveau traité historique de l’ONU pour protéger la haute mer est une étape importante dans la protection des écosystèmes marins. La mise en œuvre de ce traité implique la création d’aires marines protégées et potentiellement des restrictions sur la pêche et sur l’exploitation minière des grands fonds marins.
La protection de la haute mer est essentielle pour maintenir les écosystèmes des océans en bonne santé et assurer leur survie pour l’avenir. Il est maintenant essentiel que la communauté internationale travaille ensemble pour mettre en place des mesures efficaces visant à protéger cet environnement naturel fragile et vital pour l’ensemble de la planète.
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