Nouvelle vie

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Avec l’album de Noël « More or Less Lametta », le deuxième CD de la formation munichoise sortira cette semaine bouche d’or. Néanmoins, l’ensemble autour de la chansonnette Anna Veit n’a présenté son premier album « Fürs Erste », également sorti par Solo Musica, que dimanche dans le Hall X du HP8 en raison de reports liés au corona. Accompagné par six Philharmoniques de Munich composés de cuivres, d’accordéon, de batterie et de vibraphone, Veit transforme alors la chanson en une synthèse musicale de chambre des arts.

À quel point les musiciens enrichissent l’humour souvent noir des paroles est devenu particulièrement clair dans l’interprétation en direct d’une histoire de Cendrillon, avec laquelle l’artiste de cabaret musical d’Essen Christiane Weber n’a pu briller accompagnée d’un pianiste qu’il y a des années. De plus, les six orchestres philharmoniques ont maintenant joué la bande originale du film de Noël « Three Hazelnuts for Cinderella » et l’ont mélangée avec esprit avec la musique du film pour « Indiana Jones », entre autres. Pendant ce temps, la chanteuse n’a pas seulement interprété une pièce radiophonique au rythme effréné avec ses acrobaties vocales, tout comme Christiane Weber, décédée il y a dix ans, lui avait montré. Veit a même repris l’ancienne performance scénique de Weber jusqu’au moindre geste, qui a été littéralement ravivé dans les mouvements et le chant de Veit.

Mais Anna Veit et son Ensemble Goldmund ont également su donner un nouveau souffle aux chansons de Georg Kreisler, Toon Hermans, Jacques Brel ou Gisela de Schwabing. L’actrice et chanteuse a d’autant plus réussi qu’elle a non seulement chanté avec sa voix sur scène, mais avec tout son corps. Avec des mimiques pointues, et des gestes qui dessinaient parfois le grand spectacle comme Liza Minnelli, et parfois comme Juliette Gréco, avec de petits mouvements lyriques de la main, qui ramenaient l’attention sur le chant proprement dit.

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