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Un directeur d’Airbus en charge du vol zéro émission
L’aviation est responsable de 3,6 % des émissions de gaz à effet de serre de l’UE, et la décarbonisation du secteur n’est pas une tâche facile. Mais c’est celui que Glenn Llewellyn semble porter à la légère : Dans une bio Twitter joyeusement optimiste, l’Irlandais décrit son travail quotidien chez Airbus comme « travailler avec mes incroyables collègues pour réduire à zéro les émissions des avions ! »
En tant que vice-président du projet de vol ZeroE du constructeur – qui, selon Airbus, mettra sur le marché des avions hybrides à hydrogène zéro émission d’ici 2035 – son succès dépend beaucoup de son succès. La feuille de route de décarbonisation de l’industrie aéronautique estime que des avions plus efficaces, à faibles et à zéro émission pourraient représenter 37 % des réductions d’émissions de carbone du secteur d’ici 2050.
Depuis qu’Airbus a officiellement annoncé le programme en 2020, le projet a également été fréquemment identifié par les décideurs politiques, y compris dans la stratégie de mobilité verte de la Commission européenne.
Mais il y a des limites au plan de l’avionneur. D’une part, il faudra beaucoup d’argent pour aplanir les défis techniques impliqués, notamment comment stocker l’hydrogène à bord à 253 degrés en dessous de zéro et brûler le carburant à une température beaucoup plus élevée que le kérosène.
Les critiques soulignent également que les futurs avions d’Airbus ne conviendront qu’aux trajets plus courts, alors qu’une part importante des émissions du secteur provient des vols long-courriers.
A quoi faire attention cette année ? Situation de trésorerie d’Airbus. La société ne prendra pas de décision ferme sur le modèle d’avion pour lequel elle optera avant quelques années, mais en attendant, elle cherchera à trouver des investisseurs pour le projet.
Quelle est leur superpuissance ? Le soutien qu’Airbus tire d’être le champion d’Europe de l’aviation.
Note d’influence : 18/30
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