Pourquoi y a-t-il si peu de couverture de la musique classique ? | Musique classique


J’ai lu avec intérêt votre éditorial sur Daniel Barenboim (9 octobre). Il a été reconnu pour son rôle en veillant à ce que « ce pays ne puisse plus être rejeté sur la scène internationale … ​​comme le pays sans musique ». Le 9 octobre, la finale du concours BBC Young Musician a été diffusée sur BBC Four. À part une liste dans votre section What’s On du samedi, il n’y avait aucune mention de cela dans la presse écrite et un seul article en ligne (le 5 octobre) quelques jours avant la finale.

L’avenir de la musique ne dépend-il pas de ces jeunes musiciens qui ont consacré une grande partie de leur vie à atteindre des standards extraordinaires ? Et pourtant, la compétition a été largement ignorée par le Guardian. Combien de personnes supplémentaires auraient pu écouter s’il y avait eu plus d’informations sur les concurrents et leurs parcours vers la finale ? Le problème est-il que la musique était classique, dans son sens le plus large, par opposition à populaire ? Les musiciens jouant dans des styles populaires ont beaucoup plus d’espace dans les colonnes du journal. Peut-être pourrait-il y avoir plus d’équilibre ? La musique classique restera minoritaire si les articles sur ses tenants sont réservés à la presse spécialisée.

La dernière phrase de l’éditorial – « Nous devons suivre son [Barenboim’s] exemple inspirant aussi » – devrait être une déclaration d’intention. Si le Guardian pouvait ouvrir la voie en discutant de la riche variété de la création musicale dans ce pays, nous serions tous mieux lotis.
Nicolas Billington
Corbridge, Northumberland

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