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UNprès ce qui semble être l’hiver le plus long et le plus froid dont je me souvienne, je rêve de l’arrivée du printemps. Je suis prêt à passer les journées qui s’allongent à me prélasser dans des bouffées de douces fleurs et de soleil qui recommencent à se réchauffer. Mais alors même que les pousses avides du début du printemps apparaissent, nous, les producteurs, ne devons pas oublier que les températures glaciales restent une possibilité pendant encore quelques semaines.
Estimer quand le dernier gel se produira avec ne serait-ce qu’un brin de précision est un art imprécis, mais c’est l’un des – sinon le – principale préoccupation des jardiniers à cette période de l’année. Le gel est ressenti plus intensément dans les jardins exposés, mais peut être sans importance pour ceux qui poussent dans des endroits abrités. La date du dernier gel est essentielle pour tout jardinier qui espère faire pousser l’une des nombreuses plantes qui ne sont pas résistantes au gel et qui seraient endommagées ou même tuées par des températures inférieures à zéro.
Beaucoup de plantes que je cultive chaque printemps entrent dans cette catégorie, mais elles se prêtent aussi à être semées (sous abri, sur un rebord de fenêtre ou dans une serre) jusqu’à huit semaines avant le dernier gel. De cette façon, ils ont la possibilité de devenir de jeunes plantes fortes, prêtes à être plantées dans le sol une fois passé le risque de mourir de froid. Donc, étant donné que le dernier gel de mon jardin l’année dernière est tombé à la mi-avril, je suis coincé dans l’ensemencement maintenant.
J’utilise des bacs à graines modulaires pour tirer le meilleur parti de l’espace, en semant trois à six graines par module car de nombreuses cultures – betteraves, blettes, roquette, persil, aneth, ciboulette, radis et oignons de printemps – poussent joyeusement dans un petit gang. Je sème de la laitue, car il est plus facile de récolter lorsque chaque plante est cultivée seule, ainsi que du chou-rave, qui a besoin d’espace pour gonfler vers le milieu à mesure qu’il mûrit.
Une fois que les tomates, les piments et les aubergines sont assez gros, ils seront déplacés du propagateur chauffé dans des pots afin qu’ils aient plus d’espace pour pousser, puis je mettrai des plateaux de graines de basilic et de shiso pour qu’ils germent dans la chaleur. Si j’avais un potager plus grand, j’envisagerais également de semer des graines de choux d’été, de mettre la main sur des variétés de pommes de terre inhabituelles et (si elles me plaisaient vraiment) de planter des fèves.
Malheureusement, personne n’a la clairvoyance requise pour prédire la date exacte à laquelle son jardin gèlera pour la dernière fois, mais grâce à une combinaison d’observation attentive des prévisions météorologiques, des conseils des jardiniers voisins et de la prise de note du moment où cela se produit chaque année, il est possible de hasarder une supposition raisonnable. Et si vous êtes nouveau dans votre espace de culture ou si vous n’avez pas de jardiniers sympathiques à proximité, je trouve le site Web GardenFocused utile, car il vous aide à démarrer votre printemps de manière solide et confiante.
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