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Le général
Il n’y a peut-être pas d’autre personne en dehors de l’Ukraine plus responsable pour s’assurer que Kyiv gagne sa guerre contre Moscou que Christopher Cavoli. Le général quatre étoiles, nommé commandant suprême allié de l’OTAN et commandant des forces américaines en Europe cette année, est chargé de veiller à ce que l’Ukraine reçoive tout le soutien militaire, financier et logistique dont elle a besoin pour continuer à se battre. Cavoli n’a commencé qu’en juillet, mais il a déjà proposé une refonte de la façon dont l’Occident forme et équipe l’armée ukrainienne. Son plan est d’établir une nouvelle opération de commandement de 300 hommes basée à Wiesbaden, en Allemagne, dont le travail sera de répondre aux besoins et aux demandes militaires de l’Ukraine et qui relèverait de lui.
Il arrive à un moment où il y a une revitalisation de l’alliance militaire, dont le président français Emmanuel Macron a dit un jour qu’elle souffrait de «mort cérébrale». La guerre a donné un nouvel objectif à l’OTAN, et avec l’Europe qui redouble d’efforts en matière de coopération en matière de défense et de sécurité, la relation transatlantique s’est approfondie. Cavoli sera en charge lors de l’adhésion probable de la Suède et de la Finlande à l’alliance et a demandé que l’engagement de 2% du PIB pour les dépenses de défense soit un minimum. Ayant passé les quatre dernières années en Allemagne, Cavoli a supervisé les plus grands exercices militaires menés par l’alliance et a appris de première main les échanges parfois houleux qui ont lieu au sein de l’alliance.
Son profil semble bien adapté au poste à pourvoir. Il parle français, italien et russe et a fait une maîtrise à Yale en études russes. (Sa thèse de premier cycle à Princeton, cependant, portait sur les vers de terre.)
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