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Elke Van den Brandt, ministre bruxelloise des Transports, montre comment même les relations les plus insolubles – Bruxelles et son amour des voitures – peuvent être rompues. C’est la mission singulière de la politicienne verte de 42 ans depuis son entrée en fonction en 2019, et elle réussit.
Van den Brandt est une politicienne chevronnée, changeant de siège entre les parlements de Flandre et de Bruxelles depuis 2009. Elle est connue pour sa compétence et sa communication claire – et pour aller travailler à vélo avant qu’il ne fasse cool – qui a contribué à présenter les Verts comme un option viable. Depuis qu’elle est en fonction, elle a pris des parties du Bois de la Cambre, un parc boisé en périphérie de la ville, ainsi que des artères principales comme la rue de La Loi, la rue Belliard et l’avenue Louise, et les a rendues plus conviviales pour les vélos. . Elle a également abaissé la limite de vitesse à 30 kilomètres à l’heure dans la plupart des quartiers de la ville. Cette année, elle a adopté un plan majeur, appelé Good Move, qui réduirait le trafic dans le centre de 24 % d’ici 2030. D’autres propositions, comme la gratuité des transports publics pour les seniors et les jeunes, et de nouvelles lignes de tramway, sont également en cours de discussion.
Les défis auxquels elle est confrontée sont épineux. Rendre Bruxelles plus accueillante pour les cyclistes a inévitablement conduit à des affrontements avec les automobilistes, qui qualifient sa politique d' »autophobie ». Et elle ne peut pas faire grand-chose contre les municipalités bruxelloises qui se chamaillent. Le plan d’interdiction de la circulation du Bois de la Cambre a été adopté par un quartier mais inversé lorsqu’un autre s’est plaint que l’interdiction redirigerait le trafic vers ses propres rues. Mais si elle réussit, d’autres municipalités pourraient être tentées de suivre.
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