Qatar-gate : l’eurodéputée Eva Kaili fait une nouvelle demande de libération

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L’ancienne vice-présidente du Parlement européen Eva Kaili, arrêtée dans le cadre du scandale du Qatar-gate, aura une nouvelle audition devant la justice belge le 19 janvier au sujet de sa demande de libération.

Kaili est emprisonnée depuis le 9 décembre avec son compagnon Francesco Giorgi. Tous deux sont accusés de faire partie d’une organisation criminelle, de corruption et de blanchiment d’argent dans le scandale du Qatar-gate, qui a ébranlé la Chambre européenne.

La demande de libération de son partenaire sera réexaminée le 26 janvier, tandis que celle de Panzeri le sera le 17 janvier.

Selon son premier témoignage aux autorités belges publié jeudi par la Skaï TV chaîne, l’eurodéputée grecque a nié toute implication dans le scandale et, à la place, a rejeté la faute sur son partenaire Giorgi.

Le mari de Kaili a été arrêté pour la première fois le 9 décembre par la police belge. Lorsqu’elle a été informée de son arrestation, elle a appelé son père, qui se trouvait à Bruxelles et lui a demandé de se rendre chez elle et de prendre une valise qui, selon elle, appartenait au prétendu « cerveau » du Qatar-gate, Antonio Panzeri. .

Interrogée par les autorités belges si elle savait qu’il y avait de l’argent dans la valise, Kaili a répondu qu’elle s’en était rendu compte en ouvrant la mallette.

« Je savais que Giorgi gardait quelque chose dans notre appartement qui appartenait à Panzeri », a-t-elle déclaré.

Kaili a également laissé entendre que Panzeri avait profité de son immunité de député européen pour cacher son argent dans son appartement.

Une source proche du dossier a déclaré à EURACTIV que de toutes les accusations auxquelles Kaili fait face, il serait difficile de prouver qu’elle n’était pas impliquée dans le blanchiment d’argent.

La même source a ajouté que, du moins pour l’instant, les chances de libérer temporairement Kaili avant le procès sont peu nombreuses.

Pendant ce temps, des articles de presse suggèrent que les autorités belges examinent également ses activités parlementaires dans le secteur numérique et technologique, où elle a été très active toutes ces années.

(Sarantis Michalopoulos | EURACTIV.com)



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