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Statut : 04.11.2022 15h40
Le camp de droite salue la victoire électorale d’Israël alors que le pays se demande quel prix le futur Premier ministre Netanyahu devra payer à ses partenaires de la coalition. Ce n’est pas un hasard s’ils parlent de la pression pour réussir.
Après les élections législatives du 1er novembre, Israël devrait avoir le gouvernement le plus à droite et le plus religieux de son histoire. Après avoir compté tous les votes, cela ne fait aucun doute. L’alliance de partis que Benjamin Netanyahu a forgée comprend des partenaires de coalition d’extrême droite et des partis ultra-religieux.
Les médias israéliens se demandent déjà si Netanyahu pourra contrôler ses partenaires de la coalition ou quelles concessions il devra faire. Parce qu’ils ont autant de députés que le bloc du Likud de Netanyahu. On attend d’eux qu’ils exigent des politiques adaptées à leur clientèle, les électeurs d’extrême droite et ultra-religieux.
Yitzhak Wasserlauf du parti « Jewish Power » parle d’une « soirée joyeuse pour tout le camp de la droite » sur laquelle reposent désormais de nombreux espoirs – « il faudra réussir ».
Les représentants du parti israélien d’extrême droite Otzma Yehudit célèbrent leur succès électoral. Ils seront probablement impliqués dans le nouveau gouvernement.
Image : AFP
Controverse sur les tactiques de campagne
Dans le camp des adversaires de Netanyahu, il est temps de panser les plaies. Les partis restants ont reçu un nombre de voix similaire à celui des partis au pouvoir probables. Mais il vous manque cinq sièges pour obtenir la majorité à la Knesset. Une gauche et un parti arabe sont restés sous la barre des 3,25 %. Le travail l’a à peine fait.
La principale raison en est le manque d’alliances électorales, mais le leader travailliste Merav Michaeli attribue le principal blâme au Premier ministre sortant Jair Lapid. Le « combat » n’a pas été bien mené. Netanyahu a « baisé les pieds » des représentants des partis extrêmes, tandis que Lapid n’a pas pris un engagement similaire envers ses alliés potentiels.
Dans la soirée, Lapid a félicité Netanyahu et a rencontré les députés nouvellement élus de son parti : Ils continueront à se battre pour un Israël juif, démocratique et libéral – jusqu’à leur retour au pouvoir, a-t-il écrit sur Twitter.
Réactions prudentes à l’étranger
Différentes réactions sont venues de l’étranger : alors que le nouveau Premier ministre italien Giorgia Meloni et le Premier ministre hongrois Viktor Orban ont félicité Netanyahu pour la victoire, il n’y a toujours pas eu de réaction du chancelier Olaf Scholz.
Le porte-parole du département d’État américain, Ned Price, s’est exprimé avec prudence : « Il est à espérer que « tous les représentants du gouvernement israélien continueront à défendre les valeurs d’une société ouverte et démocratique », a-t-il déclaré. Cela inclut la tolérance et le respect de toute la société civile, en particulier pour les minorités d’Israël.
La situation sécuritaire reste tendue
Certains observateurs doutent que cela se produise. D’autant plus que la situation sécuritaire est actuellement tendue. Il y a des affrontements presque quotidiens en Cisjordanie entre des Palestiniens violents, des colons radicaux et l’armée israélienne.
Ori Struck, du Parti du sionisme religieux, qui devrait également faire partie du futur gouvernement, affirme que le gouvernement actuel doit être remplacé dès que possible et un ministre de la Défense, un cabinet de sécurité et un gouvernement « qui s’attaque au terrorisme comme il le fait ». est entendu ».
Officiellement, le président Isaac Herzog donnera l’ordre de former un gouvernement dans la semaine d’après. Netanyahu aurait alors quatre à six semaines pour mener des négociations de coalition et mettre en place son gouvernement. De nombreux observateurs s’attendent à ce que cela puisse aussi aller plus vite.
Après avoir compté tous les votes – Israël en passe de former un gouvernement
Jan-Christoph Kitzler, ARD Tel Aviv, 4 novembre 2022 14h18
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