Renault pourrait accepter de réduire sa participation de 6 milliards de dollars dans Nissan

[ad_1]

Selon les plans de Renault, une entité dédiée aux véhicules électriques et aux logiciels serait basée en France et emploierait environ 10 000 personnes d’ici 2023 tandis qu’une deuxième entité se concentrerait sur les groupes motopropulseurs à combustion interne et hybrides, et serait basée hors de France, avec également un effectif d’environ 10 000 personnes.

Le PDG de Renault, Luca De Meo, a assisté dimanche à la course de Formule 1 à Suzuka, dans le centre du Japon, lui donnant l’occasion de s’entretenir avec le PDG de Nissan, Makoto Uchida. De Meo présentera une mise à jour de sa stratégie le 8 novembre, date à laquelle il doit donner des détails sur les carve-outs prévus, dont les noms de code sont « Horse » et « Ampere ».

Bien qu’aucune décision n’ait encore été prise, il est possible que les pourparlers aboutissent à un accord avant cette date, ont indiqué des sources.

La Chine s’inquiète

Renault cherche à ce que Nissan participe à son activité EV tout en conservant une participation de 51%, ont déclaré les sources. Pour les actifs de moteurs à combustion, la société prévoit une nouvelle entité avec Aurobay, une joint-venture entre Volvo Car et le groupe chinois Zhejiang Geely Holding ainsi que d’autres investisseurs.

Nissan résiste à cette décision en raison de préoccupations concernant l’accès d’une entreprise chinoise à la technologie, ont indiqué des sources.

Les analystes se sont félicités de la possibilité pour Renault d’encaisser une partie de sa participation dans Nissan.

« Nous considérerions tout rééquilibrage de la participation de 6,1 milliards d’euros de Renault dans Nissan comme une étape vers une meilleure allocation du capital chez Renault », a déclaré Philippe Houchois, analyste de Jefferies avec une cote d’achat sur les actions du constructeur français, dans une note. « Nous trouvent Renault à la fois ouvert d’esprit sur les évolutions de l’Alliance et plus affirmé face à Nissan. »

Bloomberg et Reuters ont contribué à ce rapport

[ad_2]

Source link -45