Reportage d’Anelise Borges d’Euronews sur le sud de la Turquie frappé par le tremblement de terre

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Tout espoir de trouver plus de survivants des tremblements de terre dans le sud de la Turquie et la Syrie voisine s’estompe rapidement.

Il est difficile de donner un chiffre précis sur le nombre de personnes tuées après la catastrophe du 6 février, mais les dernières estimations évaluent le nombre de morts à plus de 48 000 et augmentent à mesure que de nouveaux corps sont découverts.

13 millions de personnes ont été touchées d’une manière ou d’une autre par les tremblements de terre dans le sud de la Turquie, beaucoup d’entre elles se sont retrouvées sans abri, leurs maisons et appartements se sont effondrés ou sont trop dangereux pour y retourner.

Pourtant, la vie doit continuer pour ceux qui ont survécu, même si c’est difficile quand ils ont perdu des êtres chers et peut-être aussi leur maison.

Serkan Sincan est propriétaire d’une entreprise dans la ville d’Antakya, dans le sud de la Turquie. Il s’est entretenu avec la correspondante d’Euronews Anelise Borges.

« Cette rue sera ouverte dans une semaine maximum deux semaines », lui a-t-il dit. « Les magasins seront ouverts – vous verrez.

« Cela fait 13 jours… et des gens mourront dans deprem (dans un tremblement de terre), dans la circulation ou à la maison… la catastrophe est terminée en ce moment. Dans l’Islam, vous pouvez être dans le chagrin pendant seulement trois jours. Après trois jours, finissez . La vie doit revenir. »

Bien que Serkam n’ait pas perdu de membres de sa famille dans le tremblement de terre, il dit qu’il est marqué par ce qu’il a perdu, de bons amis, pour lesquels il dit qu’il pleure intérieurement.

Mais il dit qu’il est déterminé à rester à Antakya au nom de ceux qui ont perdu la vie et qu’il essaiera de persuader les autres de rester aussi.

« La ville a besoin d’eux », dit-il.

Vous pouvez regarder le reportage complet d’Anelise Borges d’Antakya en cliquant sur la vidéo ci-dessus.

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