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Jsa pièce charismatique mais chaotique exhume une fabuleuse figure oubliée du 19e lettres du siècle et histoire de la race : August Boyle Chamberlayne Merriman-Labor, un avocat sierra-léonais, homme d’affaires et conférencier itinérant qui est venu à Londres édouardienne et a écrit une ethnographie satirique et un récit de voyage intitulé Briton Through Negro Spectacles.
C’était une délicieuse parodie d’études sur l’Afrique par de soi-disant experts occidentaux. Cette pièce picaresque combine la vie et le voyage de Merriman-Labor au « cœur de la blancheur » avec celle d’un narrateur des temps modernes pleurant son petit ami décédé, Alfred, et mettant en scène cette pièce pour l’honorer.
Joseph Akubeze donne une performance charmante alors qu’il fait la navette entre les histoires, qui présentent toutes deux une identité noire queer et un désir sexuel illicite ou tabou, mais les passages de l’un à l’autre semblent frustrants au hasard.
Écrite par Eloka Obi et Saul Boyer et mise en scène par Sam Rayner, cette pièce de 60 minutes est étayée par une recherche rigoureuse et admirable, mais l’histoire de Merriman-Labor semble à la fois trop brève et cernée par le cadrage complexe des temps modernes.
Il y a des arrêts et des départs méta-théâtraux lorsque le narrateur nous dit qu’il n’est pas un acteur, que son défunt petit ami Alfred a étudié à l’Université de Cambridge et a écrit cette pièce sur Merriman-Labor, qu’il a oublié ses répliques, et ainsi de suite.
Akubeze est un bon acteur physique qui joue plusieurs personnages avec aplomb et utilise des marionnettes d’objets ainsi que des sons de bruitage, courant vers un microphone pour les effets sonores et retournant à une lampe de table qui remplace, plutôt bizarrement, l’amant de Merriman-Labor, John Roberts.
L’effet est décousu et décevant, le scénario moderne devenant finalement une distraction de la figure oubliée pionnière au cœur de ce drame.
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Aux Vaults, Londres, jusqu’au 5 mars. Le festival Vault se déroule jusqu’au 19 mars.
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