Le New York Times aborde la question de la citoyenneté de droit du sol dans le contexte des préoccupations des immigrants sans papiers, suite aux politiques de Donald Trump. L’article met en évidence les débats autour de la citoyenneté pour les enfants nés de parents illégaux et la critique des interprétations contemporaines du 14ème amendement. Des représentants républicains soutiennent des réformes pour mettre fin aux abus liés à cette citoyenneté, soulignant l’importance de respecter les lois d’immigration.
La Réalité de la Citoyenneté de Droit du Sol
Le New York Times a finalement reconnu qu’un fœtus est, en effet, un bébé. Toutefois, cette prise de conscience apparaît principalement dans le cadre d’une narrative visant à promouvoir la citoyenneté de droit du sol, tout en critiquant le président Donald Trump.
Les Débats sur la Citoyenneté et l’Immigration
Dans un article intitulé « Une nouvelle peur pour les femmes sans papiers : mon enfant à naître sera-t-il un citoyen ? », le journal met en avant les préoccupations d’immigrants sans papiers qui s’inquiètent de l’avenir de leurs enfants face à la citoyenneté de droit du sol, suite à un décret exécutif de Trump.
Michael Anton, lors d’une apparition sur l’émission de Tucker Carlson, a défendu l’idée de mettre un terme à la citoyenneté de droit du sol pour les enfants nés de parents étrangers illégaux. Il a souligné que la clause ne devrait pas s’appliquer à ceux qui ne sont pas citoyens.
En tentant de jouer sur les émotions des Américains concernant l’immigration illégale, le New York Times a révélé son double discours sur l’avortement. Les conservateurs affirment que tous les Américains, qu’ils soient nés ou à naître, méritent le respect de leur dignité humaine. Cependant, la gauche adopte cette logique uniquement lorsqu’il s’agit de défendre ses propres positions.
Trump a anticipé les critiques des activistes sur sa position audacieuse concernant la citoyenneté de droit du sol, ce qui explique son choix de l’évoquer dès ses débuts en fonction. Ce sujet pourrait être porté devant les tribunaux pour déterminer si l’intention initiale du 14ème amendement visait à accorder la citoyenneté à tous les nés sur le sol américain.
Les citoyens de droit du sol sont souvent vus comme une arme utilisée dans le débat sur l’immigration illégale, notamment avec la question des « bébés ancre ». Les immigrants illégaux enfreignent les lois pour entrer aux États-Unis et donner naissance à des enfants, créant ainsi un chemin vers la citoyenneté. Mettre fin à cette pratique pourrait stopper des millions d’abus de notre Constitution.
Le représentant républicain du Texas, Brian Babin, a récemment proposé une loi sur la citoyenneté de droit du sol qui vise à renforcer le décret de Trump et à codifier ces réformes dans la législation. Il a déclaré : « Il est temps de METTRE FIN à l’exploitation des échappatoires dans notre système d’immigration. »
De son côté, Andy Biggs, représentant de l’Arizona, a souligné que le privilège de la citoyenneté américaine ne devrait pas être accordé à ceux qui enfreignent nos lois. Il a ajouté que les rédacteurs du 14ème amendement seraient consternés par l’abus actuel de la notion de « citoyenneté de droit du sol ».
Amy Swearer, chercheuse à la Heritage Foundation, a également critiqué l’interprétation contemporaine de la citoyenneté de droit du sol, affirmant que, pendant plus d’un siècle après la ratification du 14ème amendement, il n’était pas considéré comme applicable aux enfants nés d’étrangers illégaux.
Le discours du New York Times sur la citoyenneté de droit du sol est le premier d’une série d’articles de médias qui cherchent à retourner les Américains contre leurs propres intérêts. Les immigrants illégaux enfreignent les lois pour venir ici et ne devraient pas bénéficier de privilèges spéciaux pour cela.
La gauche ne peut pas continuer à défendre des vues anti-humaines tout en appelant à des politiques d’immigration prétendument « humaines ». Une majorité d’Américains est préoccupée par le sujet de l’immigration illégale et ses implications.