Rue Chrystie

[ad_1]

pour christina yuna lee

je suis patient
comme la masse dans ma main.

en route pour une fête
sur quoi j’éclaterai d’un rire éclatant

pendant qu’un ami pose dans ma fourrure,
la pluie poignarde les toits,

A chaque pas autour de moi le son
de poignards.

le petit dieu à mon poignet claque
contre la bouteille de vin sous mon bras—

l’année dernière, quand nous avons acheté du macis en masse,
j’ai fait un autel de ma grand-mère.

ce soir, chrystie street dégouline
dans la même prière.

la pluie urgente. une ambulance
un cri.

quand je rends visite à ma grand-mère,
ma mère prie—

aller partout où janelle va—
la suivre partout
.

ne venons-nous pas tous
de quelque part ?

christina avait aussi un dieu. Et Dieu-
dieu – où que tu sois,

permettez-moi de le dire clairement:
je ne veux pas mourir.

le couteau était jaune.
Dieu, tu étais juste à l’extérieur

fumeur.

[ad_2]

Source link -30