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jeC’est assez vivifiant, cette neige, et je ne veux pas dire littéralement. J’ai consommé des gros titres et des reportages sur la neige pendant des décennies : généralement, ils disaient « Winter Wonderland », suivi de « travel chaos » ; occasionnellement, « le chaos du voyage accentué par un paysage enneigé magique ». Certaines années, les gens essayaient de mélanger un peu – « Snowtravaganza » était un point bas. Vous vous êtes juste senti mal pour le pauvre con qui a dû vivre avec l’avoir écrit.
Tout cela a été remplacé cette année par des instructions assez détaillées sur la façon de survivre au froid sans faire faillite : il y avait un reportage à la radio sur la façon de baisser la température interne de vos radiateurs, si vous avez une chaudière mixte. Il ne s’agissait pas d’informations qui se prêtaient naturellement à un support auditif. C’était comme essayer d’apprendre à supprimer votre propre appendice par podcast. Personne ne panique – il y a aussi un site Web ! Sauf qu’en même temps, tout le monde panique : c’est bien de prendre des mesures judicieuses pour économiser en période de pénurie d’énergie, mais il n’est en aucun cas normal de lire des experts évaluer les avantages relatifs de porter un chapeau à l’intérieur et de mettre des mini radiateurs USB dans votre des chaussures.
Tout ira bien tant que vos extrémités ne seront pas trop froides, et elles iront bien tant que vous maintiendrez votre température centrale, et ce sera bien, tant que vous resterez au lit, et c’est un canard, soit dit en passant, que les boissons chaudes tiennent durablement au chaud, et d’ailleurs, avez-vous vu ce qu’il en coûte de faire bouillir une bouilloire ? C’est un bon conseil (et vrai aussi : je ne l’ai pas inventé), en particulier pour ceux qui travaillent à domicile, mais en même temps, c’est une différence assez fondamentale entre l’homme et la bête, la capacité de se réchauffer sans avoir s’accroupir ou hiberner pendant une saison. Les solutions sont politiques (reconsidérer le partage bénéfices/coûts/fiscalité entre les fournisseurs d’énergie et la société ; séparer le marché du carbone du marché vert, afin que les énergies renouvelables ne soient pas indexées sur le prix du gaz) ; ils sont géopolitiques (la guerre n’aide pas) ; ils sont environnementaux (les correctifs d’efficacité doivent être permanents, pas seulement pour Noël). Nous ne pouvons pas traiter cette crise comme un dilemme de consommation dans lequel ? magazine.
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