[ad_1]
PARIS – Stellantis a signé un accord préliminaire non contraignant avec GME Resources pour sécuriser l’approvisionnement en sulfate de nickel et de cobalt pour les batteries de véhicules électriques, ont annoncé les deux sociétés.
L’accord marque une nouvelle étape du constructeur automobile pour verrouiller les approvisionnements en métaux nécessaires aux batteries qui alimentent les voitures électriques, avant une augmentation attendue de la demande mondiale alors que la transition vers une mobilité plus propre gagne du terrain.
Plus tôt cette année, le groupe franco-italien a signé un accord d’approvisionnement en lithium avec le développeur Vulcan Energy Resources et a annoncé qu’il investirait 50 millions d’euros (48,6 millions de dollars) pour en acquérir une participation de 8%.
Stellantis et la société minière GME ont déclaré lundi que le mémorandum « représente la première étape vers un partenariat potentiel à long terme ».
Les détails financiers n’étaient pas divulgués.
L’approvisionnement proviendra d’un projet minier avancé de nickel et de cobalt en Australie-Occidentale appelé « NiWest », que GME développe actuellement, avec une production prévue d’environ 90 000 tonnes par an de sulfate de nickel et de cobalt de qualité batterie.
Une étude de faisabilité pour NiWest doit commencer ce mois-ci, ont indiqué les entreprises.
Maxime Picat, directeur des achats et de la chaîne d’approvisionnement de Stellantis, a déclaré que la sécurisation des sources de matières premières et de l’approvisionnement en batteries renforcerait la chaîne de valeur du groupe pour la production de véhicules électriques et soutiendrait son objectif de décarbonation.
Stellantis s’est engagé à réaliser 100 % de ses ventes en Europe et 50 % de ses ventes aux États-Unis à partir de véhicules électriques d’ici 2030.
[ad_2]
Source link -45