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MILAN — Stellantis a signé un accord-cadre avec l’Algérie pour développer les activités de sa marque Fiat dans le département, y compris pour la production locale de véhicules.
L’accord porte sur un projet de développement en Algérie des activités industrielles, d’après-vente et de pièces de rechange pour Fiat, ainsi que sur le développement du secteur automobile dans le pays, a indiqué jeudi Stellantis dans un communiqué.
Stellantis, dont les marques incluent Peugeot, Citroën, Alfa Romeo, Jeep et Opel, n’a pas fourni plus de détails sur les activités qu’elle lancera dans le cadre de l’accord.
« La qualité des discussions en cours nous rend confiants sur les perspectives de développement de la marque Fiat, qui aura à cœur de répondre aux attentes des clients algériens », a déclaré le PDG de Stellantis, Carlos Tavares.
Le climat des affaires en Algérie a été difficile pour les constructeurs automobiles qui tentent d’y produire des véhicules. En 2019, le gouvernement a effectivement interdit l’importation de kits de démontage et de semi-démontage, ainsi que de voitures d’occasion en provenance de l’étranger. Renault, le groupe VW et Hyunda-Kia ont fermé leurs usines dans le pays en 2019-2020, à la suite de nouveaux tarifs et également d’une répression de la corruption.
Mais maintenant, le gouvernement semble prêt à relancer l’industrie. Selon des informations parues cette semaine dans les médias algériens, les restrictions sur les voitures d’occasion ont été en partie levées cette semaine, et Renault envisage de reprendre la production de son usine d’Oran, à l’arrêt depuis février 2020.
Des reportages dans les médias algériens indiquent que la production de Fiat serait à Oran, où Message d’intérêt public Group, qui a fusionné avec Fiat Chrysler pour former Stellantidese préparait à ouvrir une usine lorsque les restrictions précédentes ont été annoncées.
Reuters a contribué à ce rapport
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