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Les données sont considérées comme le trésor du 21e siècle. Des entreprises technologiques comme Google et Meta les ont aidés à dominer le monde, et des services secrets comme la NSA les stockent en grande quantité pour obtenir les informations les plus précises possibles sur les menaces à venir. Mais en Allemagne, le trésor de données reste souvent inexploité.
Le gouvernement fédéral veut maintenant changer cela avec une nouvelle stratégie nationale. Les pierres angulaires de la stratégie de données sont exclusivement à la disposition du Handelsblatt. Ils doivent être présentés lors du sommet numérique du gouvernement fédéral, le grand événement politique numérique annuel à Berlin, qui a lieu jeudi et vendredi.
La promesse du document : « La nouvelle stratégie nationale des données du gouvernement fédéral jette les bases de la prospérité et de la confiance dans l’économie des données numériques et assure notre compétitivité. Le gouvernement veut commencer par trois points centraux.
De nombreuses données précieuses sont actuellement inutilisées sur les serveurs des autorités fédérales. Le gouvernement fédéral promet de changer cela : « Nous ouvrons des bases de données d’État et rendons les données d’État utilisables de manière conviviale », indique le journal.
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On devrait « Obligation du gouvernement fédéral de publier activement certaines catégories de données » être introduits. La loi sur la liberté d’information devrait devenir une loi fédérale sur la transparence.
>> Lire ici : Nous devons enfin élever le trésor de données
D’ailleurs, il devrait y en avoir un Droit légal aux données ouvertes – des données librement accessibles pouvant être utilisées, diffusées et réutilisées par tous. Toutes les données fédérales qui ne contiennent pas d’informations sensibles et ne sont donc pas soumises à des « restrictions d’accès légitimes » devraient être rendues accessibles aux entreprises, à la science et à la société civile via le portail GovData.
Les portails existants qui fournissent des données ouvertes sur le trafic, la météo ou l’environnement, par exemple, devraient également être mieux reliés.
Un élément pour l’échange sécurisé de données pourrait être ce que l’on appelle les « dépositaires de données ». Dans ce modèle, une autorité de confiance, une sorte d’intermédiaire, s’interpose entre ceux qui partagent les données et ceux qui les reçoivent. Il s’agit d’assurer la protection des données personnelles.
Celles-ci sont à fournir comme « outils techniques et organisationnels », par exemple pour assurer la souveraineté des données des entreprises. De tels administrateurs de données pourraient même agir comme éléments centraux d’une économie de données. Le gouvernement fédéral examine si l’État pourrait effectuer une certification correspondante pour les dépositaires de données.
Les investissements dans les données devraient valoir la peine
Pour les entreprises qui investissent de l’argent dans la génération et le traitement de données, il convient de s’assurer qu’elles peuvent également générer un retour sur investissement. L’entreprise avec les données devrait également être financièrement intéressante. Pour que cela réussisse, par exemple, la protection de la propriété intellectuelle doit être renforcée, notamment lors de l’accès à des données privées. Il s’agit de renforcer la « volonté d’investir » des entreprises. Une incitation à rendre accessible vos propres données et à les monétiser.
Selon le gouvernement fédéral, le partage et l’utilisation des données promettent «un potentiel pro-concurrentiel et innovant considérable». Pour s’assurer que cela peut également être utilisé avec une sécurité juridique, le gouvernement fédéral veut revoir le droit de la concurrence et l’adapter si nécessaire. Le partage des données devrait également être facilité dans la loi sur les conditions générales.
Un facteur d’incertitude majeur dans le traitement des données est actuellement les exigences légales strictes, par exemple en raison du Règlement général sur la protection des données. Le gouvernement fédéral veut plaider en faveur de cette « des règles simples, claires et cohérentes » déployer.
>> Lire ici : « Frein à l’activité économique et à l’innovation » : l’économie déçue de la stratégie numérique du feu tricolore
En outre, des « contrats types et clauses contractuelles types » sont destinés à faciliter le traitement juridique des données et à accompagner les entreprises et les consommateurs. Outre ces contrats types, des exemples de bonnes pratiques en matière de protection et de traitement des données devraient également être rendus accessibles.
Les formats de données devraient devenir plus compatibles
Jusqu’à présent, un autre problème a été que les formats de données ne sont souvent pas compatibles entre eux ou que l’échange de données n’est pas encore possible d’un point de vue technique. C’est là que les standards et les normes devraient contribuer à unifier.
Oui, comme le précise le gouvernement fédéral : Celles-ci ne doivent pas être « utilisées à mauvais escient pour évincer le marché », mais doivent être ouvertement orientées afin d’assurer une concurrence loyale sur les marchés des données.
Le consentement aux cookies, c’est-à-dire le stockage des données individuelles des utilisateurs sur les sites Web, souvent gênant pour les consommateurs, doit également être simplifié. A cette fin, l’Allemagne veut soumettre à l’UE une proposition destinée à « soulager les utilisateurs des nombreuses décisions individuelles ».
Suite: L’industrie met en garde contre les « restrictions massives » de la loi sur l’IA
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