Customize this title in frenchLes passagers d’une compagnie aérienne pris en otage par Saddam Hussein au Koweït vont poursuivre le gouvernement britannique en justice et pourraient réclamer 170 000 £ chacun pour avoir affirmé que leur vol avait été autorisé à atterrir alors que les autorités savaient que l’Irak avait déjà envahi le pays.

Customize this title in french »Ce n’est pas notre travail d’arrêter les bateaux », déclare un policier des frontières français, admettant avoir AUTORISÉ une famille à partir « parce qu’elles m’ont touché le cœur » : fureur face à l’attitude des gardes qui auraient été payés à partir de 480 millions de livres sterling par les contribuables britanniques pour repousser les migrants