Un député accuse les principaux cabinets d’avocats londoniens, dont Schillings, Carter Ruck, Harbottle et Lewis, d’avoir aidé « le crime organisé et les États autoritaires », dont la Russie de Vladimir Poutine, à essayer de museler la presse britannique alors qu’il dépose une nouvelle loi pour limiter les cas de diffamation coûteux