Boris Herrmann, participant à la 10e édition du Vendée Globe, navigue à bord de Malizia – Seaexplorer et aspire à intégrer le top dix malgré des conditions difficiles. En direct sur NDR, il discutera des récents défis de la course. Actuellement en douzième position, il a réduit son retard sur le leader à 1 235 milles marins. Alors que la compétition s’intensifie, il se prépare à affronter des vagues extrêmes, espérant un renouveau dans sa performance.
La Course du Vendée Globe : Boris Herrmann en Pleine Action
La 10e édition du Vendée Globe bat son plein. Boris Herrmann, originaire de Hambourg et à bord de son bateau Malizia – Seaexplorer, figure parmi les prétendants sérieux pour cette seconde participation. Pour suivre toutes les nouvelles et les coulisses de cette aventure nautique autour du monde, restez connectés au blog dédié.
Un Talk-Show en Direct pour Suivre la Compétition
Ce mercredi, ne manquez pas le talk-show en direct du NDR où Boris Herrmann sera l’invité. Tim Kröger, l’expert du NDR, ainsi que le reporter Sven Kaulbars, se pencheront sur les récents développements de la course et discuteront en direct avec le skipper. Le livestream débutera à 13 heures.
Actuellement, Herrmann se sent un peu épuisé, comme il l’a confié mardi à bord de son bateau, confronté à des vagues tumultueuses. « C’est agité à bord. Si je peux dormir 45 minutes, c’est déjà un bon résultat », a-t-il déclaré en évoquant les défis de la course.
Malgré des conditions de navigation plus lentes que prévu, Herrmann garde le moral. « Je ne traîne pas à la 30e place. Je vise plutôt le top dix », a-t-il affirmé, déterminé à surmonter les difficultés rencontrées dans l’océan Austral.
Alors que les leaders s’apprêtent à affronter des conditions extrêmes, Herrmann espère trouver des opportunités dans la mer de Ross pour réduire son écart. « Je me sens toujours dans la course, même avec un retard », a-t-il indiqué avec confiance.
Dans le peloton de tête, le skipper français Nicolas Lunven anticipe des vagues allant jusqu’à neuf mètres, ce qui souligne la gravité des conditions à venir. « Nous devons changer de cap pour éviter le vent fort et la mer agitée », a-t-il expliqué.
Pour Boris Herrmann, la situation reste à surveiller. En occupant la douzième place, il a réussi à réduire son retard sur le leader de 70 milles marins, portant désormais son écart à 1 235 milles marins (environ 2 280 kilomètres).
Après trois semaines de compétition, les 39 bateaux encore en lice continuent de naviguer avec acharnement. Au sommet des classements, les Français Charlie Dalin, Sébastien Simon et Yoann Richomme mènent la charge, tandis qu’Herrmann lutte pour se hisser parmi les dix premiers.
Manuel Cousin, un autre concurrent, a récemment connu un moment de frayeur après avoir heurté un objet à grande vitesse, mais il a pu constater que son bateau n’avait subi aucun dommage. Avec un retard d’environ 2 700 milles marins, il se trouve en avant-dernière position.
Concernant le passage de Boris Herrmann au Cap de Bonne Espérance, il a mis 22 jours, 2 heures et 31 minutes, tandis que le leader a été presque trois jours plus rapide. « J’espère un renouveau dans ma course », a-t-il exprimé avec enthousiasme.
En atteignant le Cap de Bonne Espérance, Herrmann a franchi un autre jalon important. Malgré la fatigue, il maintient une bonne vitesse de navigation, se préparant à relever le défi des conditions difficiles de la mer de Ross.
Avec des vents soutenus et des mers agitées, la compétition s’intensifie pour Herrmann, qui a récemment gagné une place, se positionnant maintenant à la onzième place. Bien qu’il ait perdu un peu de terrain sur le leader, sa détermination reste intacte. La suite de la course promet d’être palpitante.