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À l’approche de la publication de documents secrets sur l’assassinat de JFK, des révélations suggèrent que J. Edgar Hoover, ancien directeur du FBI, aurait orchestré un coup d’État avec des complices, dont Lyndon B. Johnson. Hoover, craignant pour sa position, aurait manipulé les enquêtes et blâmé Lee Harvey Oswald avant même le début des investigations. Les nouvelles preuves pourraient profondément modifier notre compréhension de cet événement tragique, révélant une conspiration au sein de l’État profond.

Le Mystère de l’Assassinat de JFK : Nouvelles Révélations à l’Horizon

À l’approche de la publication de 2 400 documents longtemps gardés secrets concernant l’assassinat de John F. Kennedy, un ordre exécutif émis par Donald Trump a suscité un regain d’intérêt. Des sources affirment que ces documents pourraient contenir des preuves frappantes indiquant qu’un coup d’État orchestré par le soi-disant État profond, sous la direction de J. Edgar Hoover, ancien directeur du FBI, a été à l’origine de cet acte tragique.

Les Secrets de J. Edgar Hoover Révélés

Des experts et des informateurs ont indiqué que Hoover, connu pour son approche froide et stratégique, entretenait des dossiers compromettants sur de nombreux politiciens et célébrités. Il craignait que le président Kennedy et son frère, Robert F. Kennedy, procureur général à l’époque, ne le fassent tomber après l’élection de 1964.

Hoover aurait également éprouvé une rancune tenace après que les frères Kennedy lui aient ordonné de changer son focus de la lutte contre le communisme à une campagne contre la mafia américaine, en raison de son implication supposée dans des activités compromettantes.

Des révélations récentes suggèrent que la participation de Hoover à cet assassinat a été mise en lumière en 2017, lorsque les Archives nationales ont rendu publics des documents, dont un télégramme envoyés par Hoover à ses bureaux de terrain, indiquant que le président risquait d’être la cible d’un assassin, et ce, cinq jours avant le tragique événement du 22 novembre 1963.

Selon l’analyste judiciaire Steven Jaffe, ce télégramme avait pour but de couvrir ses arrières après les faits, car il faisait partie de l’équipe d’enquête menée par le procureur de La Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, pour poursuivre un informateur de la CIA en lien avec l’assassinat de JFK.

De plus, deux jours après l’assassinat, Hoover aurait préparé un mémo dans lequel il proposait de faire porter le blâme à Lee Harvey Oswald, avant même qu’une enquête ne soit lancée. Il aurait écrit : ‘La chose qui m’inquiète… c’est d’avoir quelque chose émis pour que nous puissions convaincre le public qu’Oswald est le véritable assassin.’

Plus tard, il a déclaré à la Commission Warren qu’il n’avait pas constaté le moindre indice de conspiration dans la mort du président, malgré les rumeurs qui circulaient.

Des sources ont également mentionné qu’Hoover avait rassemblé un groupe d’initiés de l’État profond, tous unis par un désir commun de se venger de JFK.

Les conspirateurs auraient inclus Lyndon B. Johnson, alors vice-président, qui craignait d’être écarté du ticket démocrate de 1964, ainsi qu’Allen Dulles, ancien directeur de la CIA, évincé après l’échec de la Baie des Cochons en 1961. Ensemble, ils ont formé un réseau qui a vu la participation d’anciens agents du FBI et d’une équipe d’assassins de la CIA.

Les tensions grandissantes avec le président Kennedy, notamment en ce qui concerne son intention de retirer les troupes américaines du Vietnam, ont également exacerbé la situation. Des contacts avec la mafia, en particulier Jimmy Hoffa et d’autres figures notables, auraient également été établis, chacun ayant des griefs contre les Kennedy.

Avec toutes ces pièces en place, Hoover aurait minutieusement orchestré l’assassinat. Jaffe a affirmé : ‘Je crois personnellement que J. Edgar Hoover faisait non seulement partie de la cabale pour tuer Kennedy, mais qu’il la dirigeait.’

Les experts s’accordent à dire que les preuves de l’implication de Hoover seront révélées avec la publication imminente des dossiers sur l’assassinat de JFK, ce qui pourrait redéfinir notre compréhension de cet événement tragique. Comme l’a souligné Jefferson Morley, un spécialiste du sujet : ‘C’est monumental. Cela montre que le FBI commence à répondre aux ordres du président, plutôt que de garder le secret.’