Plus de 1,3 milliard de dollars de fonds publics sous l’administration Biden ont été attribués à des groupes associés au terrorisme, selon des enquêtes récentes. Des experts appellent à une réévaluation des programmes d’aide, soulignant que l’argent peut soutenir indirectement ces organisations. Bien que l’administration ait continué de financer des groupes controversés, y compris l’UNRWA, des préoccupations persistent quant à l’utilisation de ces fonds par l’Autorité palestinienne, notamment pour des projets liés au terrorisme.
Un financement controversé : Plus de 1,3 milliard de dollars à des groupes liés au terrorisme
Plus de 1,3 milliard de dollars provenant de fonds publics sous l’administration Biden ont été dirigés vers des groupes qui ont soit parrainé, soit commis des actes terroristes. De récentes enquêtes menées par des organismes de surveillance fédéraux, ainsi que d’autres documents, révèlent que les programmes d’aide de l’ancien président Biden ont alimenté un réseau de terrorisme dans le monde musulman, en grande partie en renversant les politiques mises en place durant l’ère Trump. Des experts en sécurité nationale soulignent que la nouvelle administration doit prendre cette situation très au sérieux.
La nécessité d’une réévaluation des programmes d’aide
Bill Roggio, chercheur senior à la Fondation pour la défense des démocraties, a déclaré que « nous ne devrions pas investir d’argent dans des pays ou des zones où un groupe terroriste est au pouvoir ». Il a également ajouté que « l’aide, tout comme l’argent, est fongible », ce qui signifie que cela peut indirectement soutenir ces groupes. Le Département d’État a affirmé que « la sécurité nationale est et restera une priorité absolue », après que l’ancien président Trump ait annoncé une réévaluation des programmes d’aide étrangère.
Les États-Unis représentent environ 40 % de l’aide humanitaire mondiale et les citoyens américains méritent transparence et responsabilité concernant ces fonds. Alors que l’administration Biden a continué de donner des millions à des organisations controversées, des rapports indiquent que la plus grande part des fonds a été allouée à des organisations palestiniennes, notamment à l’Agence des Nations Unies pour l’aide aux réfugiés de Palestine (UNRWA). Cette agence, bien qu’affichant des objectifs humanitaires, a été liée à des groupes terroristes par des renseignements américains et israéliens.
Malgré les préoccupations croissantes, l’administration Biden a en partie relancé des fonds de soutien économiques pour l’Autorité palestinienne, bien que cela soit en contradiction avec les lois mises en place par Trump. La situation soulève des questions cruciales sur l’utilisation des fonds par l’AP, notamment en ce qui concerne son programme de récompenses pour les actes de terrorisme. Cette complexité appelle à une réévaluation sérieuse de l’ensemble des programmes d’aide afin de garantir qu’ils ne contribuent pas au financement du terrorisme.