Un maître du mouvement politique part – sans successeur

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De

Mirco Keilberth

Certaines catastrophes se produisent si discrètement et avec tant de désinvolture que leur ampleur n’est apparente que bien plus tard. Dimanche après-midi dernier, le temps était venu au Liban. Le président Michel Aoun a quitté sa résidence officielle après six ans et une courte cérémonie à laquelle ont assisté plusieurs centaines de partisans. Lorsque le cortège a quitté le palais de Baabda et que les grandes portes de fer se sont fermées, les années de crise politique au pays des cèdres avaient atteint un nouveau sommet. Car les partis politiques au Liban ne sont pas encore parvenus à s’entendre sur un successeur à l’homme de 89 ans.

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